Suite du bal [PV Shanelle][Cs]

-Si tu l'aurais sût... avant que ça n'aie plus loin entre nous... comment aurais-tu réagis en l'apprenant?

- Je... Mal. Surement que nous n'aurions jamais été amoureux, surement que l'AP serais déjà avertit et`que tu ne pourrais plus être ici... Tu serais surement avec Voldemort...

J'avais du mal a me l'imaginer. Lui dans les rend du seigneur des ténèbres. Puis, je saisis le savons qu'Étienne avais déposé sur le bort du bain et de commença doucement a le frotté contre Étienne. Je déposa le savon et massa son cuir chevelue, puis massa le reste de sont corps sans aucune gêne. Souriante, je l'obligea a se rincé et je l'embrassa doucement sur la joue. Puis je me blotti dans ces bras. T'en qu'il ne rejoignais pas le seigneur des ténèbres, j'allais tenir ma promesse. Sinon... J'avala de travers.

- Ne va pas le rejoindre... Je t'en supplies!

En effet... sans doute que j'aurais agis ainsi... avant. Avant de l'avoir rencontré. Avant d'avoir commencer à l'aimer... Avant bien des choses... m'enfin. Je ne voulais plus vraiment repenser à cela. Pourtant, je ne dis mot, alors qu'elle passait le savon sur mon corps. Je ne la lâchais pas des yeux, alors qu'elle finissait de me savonner. J'eus un légé sourire, alors qu'elle venait m'embrasser sur la joue, puis je me rincai, quand même assez rapidement. Je finis par la prendre dans mes bras lorsqu'elle s'y blottit et j'appuyai ma tête sur son épaule, respirant doucement en humant ses cheveux.

-Non... Je n'irai pas... Je ne le veux plus... Tout ça, c'est du passé. Mais ce qui est marqué restera à jamais... désolé...

Puis, me rendant compte que la marque était toujours sur mon bras, je l'empressai de la faire dispaitre de nouveau... même si je savais que sa présence était indéniable. Avec un petit soupire, j'allai l'embrasser sur la joue, puis sur la comissure des lèvres, en la serrant contre moi avec tout l'amour que j'éprouvais pour elle.

-Non... Je n'irai pas... Je ne le veux plus... Tout ça, c'est du passé. Mais ce qui est marqué restera à jamais... désolé...

Je ressentais son amour au plus profond de moi. S'étais donc possible d'aimé autant? Je croyais que mon coeur allais explosé. Étienne, un des gars les plus populaire de l'école, m'avais choisie et m'avais prouvé sans aucun doute son amour. Et maintenant, Ce gars la était prêt a trahir Lord Voldemort pour moi. Je sentais tout son amour. Et mon propre amour, presque palpable. Je n'avais jamais crus pouvoir être aussi heureuse. J'était prête a m'engager, prête a vivre ma vie avec lui, lui que je connaissais depuis quelque jour seulement. Ce soir la, au bal de Noël, il y a quelque jour, je n'avais pas comprit le sentiment qui m'avais envahis quand je l'avais vue dansé avec cette fille. Maintenant, je savais. Je l'aimais déjà. Et j'étais jalouse. Complètement. Je sourit doucement. Mais il m'avais choisis. Moi, pas elle. Je n'y croyais pas encore. Et je devais me le répété, encore et toujours, pour ne pas croire que tout cela n'avais été qu'un rêve. Mais je ne rêvais pas. Je me décolla d'Étienne. Je le regarda dans les yeux, pleine d'émotion. Je me demandais. Je lui demanda.

- Pourquoi moi?

Sa question me pris presque au dépourvue. Comment pouvais-je expliquer... pourquoi je l'avais choisis elle? Le coeur avait-il besoin d'une raison? Ou... peut importe. Elle voulait sans doute une réponse concrète. Pourtant, j'en revint à penser à avant le bal. Comment je voyais le monde à travers mes yeux égoïstes et remplis de haine. Ses yeux qui en avait vu des biens pire, pourtant... j'avais vus certains garçon regarder Shanelle, lors du bal, même si c'était très subtil, et je ne me rappelais pas ma réaction. Tout c'était enclanché lorsque nous avions danser... ou peut-être étais-ce quand je l'avais invité... Eumh... je ne me rappelais vraiment plus et s'était frustrant. Tellement que j'en oubliai presque mon chagrin et ma honte d'il y a quelques minutes.

-Scincèrement... pourquoi toi...? Sans doute parce que mon... ma raison... je ne sais pas trop comment l'expliquer... avait remarqué que tu n'étais pas exactement ce que tu montrais... et qu'il vallait la peine de creuser... Pour être scincère... je crois que je t'aimais déjà quand je t'ai invité au bal... mais mes émotions sont contradictoire, on dirait presque que depuis le bal... j'ai oublié la majorité des choses auquel je pensais avant... Je ne comprend pas moi-même... mais je sais que mon coeur a fait le bon choix. Peut-être étais-ce l'instinct... mais...

Comprenant que ce que je disais ne menait à rien, je soupirai, puis souriai, rigolant légèrement.

-Je suis sûr que ce que je dis n'a pas de sens...

[Désolé pour le retard, mon ordi était brisé]

-Sincèrement... pourquoi toi...? Sans doute parce que mon... ma raison... je ne sais pas trop comment l'expliquer... avait remarqué que tu n'étais pas exactement ce que tu montrais... et qu'il valait la peine de creuser... Pour être sincère... je crois que je t'aimais déjà quand je t'ai invité au bal... mais mes émotions sont contradictoire, on dirait presque que depuis le bal... j'ai oublié la majorité des choses auquel je pensais avant... Je ne comprend pas moi-même... mais je sais que mon cœur a fait le bon choix. Peut-être étais-ce l'instinct... mais...

Je lui sourit tendrement. Il était magnifique a essayez de s'expliquer sans véritablement être capable. Pourtant je comprit... Enfin, je croyais comprendre.

-Je suis sûr que ce que je dis n'a pas de sens...

- Elle en a un... Pour moi.

Parce que je t'aime, parce que nous sommes fait l'un pour l'autre, parce que vivre sans toi n'est pas vivre. Ces ce que je voulu dire. Et qui sortit sous la forme d'un regard profond, pénétrant. Mon habileté avec les mots laissait à désiré. Mais je ne pouvais nier mon amour pour lui. Ni le fait qu’il ne pouvais pas partir sans me briser complètement. Ce mangemort, s’il en était encore un, était tout a moi. Je l’embrassa, ne sachant pas comment agir autrement.

[Pas grave Razz

]

Je vis son sourire et je ne pus m'empêcher de faire de même. Comment lui résister, à elle? Je devais bien me poser la question... elle était devenu, pour ne pas faire cliché, même si ça le semblait, ma raison de vivre! Je vis ce regard qui ne pouvait pas être exprimé par des mots. Je savais déjà que je l'aimais.. mais ce regard me laissa encore plus pantoie. Je l'aimais... vraiment! Rien ne pourrait un jour me forcer à la quitter... sauf peut-être si je me faisais forcer... même à ça. Ça n'arriverait pas de si tôt... sinon, sans doute essaiyerais-je de la protéger. Mais c'était plus facile à dire et à penser que de le faire dans la réalité.

Elle vint m'embrasser, et je ne sus comment la repousser, je ne le pus pas tout simplement. Même si au fond de moi-même, les remords continuaient de me ronger... Et rare était les fois où cela m'arrivait. J'étais plutôt du genre à tenter d'éviter tout ça... à ne pas réfléchir aux conséquences et de ne pas avoir de remord. Mais depuis que je la connaissais... tout cela avait changé. Je ne voulais plus fuire... je ne voulais plus être l'ancien Étienne... pourtant, je n'avais pas le choix. C'était ce que je devais faire pour ne pas me laisser piler sur les pieds, ce qui serait pourtant bien dure, dans les temps à venir. Premièrement : Les filles qui me courraient après. Deuxièmement : Les idiots de pervers qui avait assisté à notre scène... et troisièmenent... bien... je ne pouvais pas changer du jour au lendemain, sauf que j'agirais différemment avec Shanelle, car mon amour remportait tout. Il ne pourrait pas dépasser les attendent des autres, ou mes petits caprices... même s'il me restait encore plusieurs choses à apprendre par rapport au sentiment et à la manière d'agir des autres et de moi-même en fait...!

Je lui donnai un autre baisé, puis me reculai pour aller nicher ma tête dans le creu de son cou, la serrant contre moi. Je m'étais calmé... je savais qu'elle ne me laisserait pas tomber...et c'était bien... je ne voulais pas subir cette rupture. Ce que j'avais crains en le lui annonçant...!

J'était dans ces bras, si bien, sereine. Comment ne pouvais-je pas l'être? Vivre seul est un véritable supplice. Comme un tourbillons maléfique qui englobe l'âme en le corrompant, la solitude est une maladie qui attaque les sentiments tel que l'amour ou la générosité, et qui fait ressortir les moins bon sentiments.

Comme moi, Étienne avais vécu t'en de chose difficile, tellement dur a imaginé. Presque toute les petites bulles avaient disparue et l'eau se reflétait contre le haut plafond de la salle de bain. Je comprenais que trop bien pourquoi les préfets ne prenais leurs bain qu'en cet endroit. Cet pièce réveillais des sentiments profond en moi, des sentiments oublier, tout simplement magnifique, enfouit au plus profond de mon âme ou la lumière commençais à peine à transpercer la coquille de noirceur formé par le temps. Heureusement, toujours Étienne était avec moi. Et je l'aimais trop profondément pour laisser Voldemort se mettre entre nous.

Je me serra contre lui, déposant encore une fois mes lèvres contre les siennes. Je ne pouvais m'empêcher de l'aimer, de le désiré. Je l'aimais. Plus qu'un attirance physique ou mental, s'était une attirance sentimental, dépassant tout mes besoins. Encore plus que de manger ou de boire, j'avais besoin de lui pour survivre. J'avais besoin de lui pour vivre.

Le calme règnait dans la pièce... tel un voile, il était tombé, lentement, mais sûrement. D'ailleurs, la salle de bain insitait au calme. C'était son but premier. Ici, jamais il n'y avait eut des cries. Seulement des prèfets calmes. Fort heureusement, jamais un Gryffondor n'était venu en même temps qu'un Serpentard. Ceux-ci avait mit des règles et ne voulait pas prendre leur bain avant ou après cette maison qu'ils disaienet impure. S'il allait prendre leur bain après, ils allaient être souillé... tout cela, même s'ils se lavaient ensuite. Longtemps, j'avais dis cela des Gryffondors. Maintenant, je n'étais plus sûr de rien... c'était comme si, du jour au lendemain, tout avait changé... avais-je tant changé que cela en quelque jour? Étais-ce la présence Shanelle qui m'avait tant... changé? Que j'étais devenu ainsi... et ne me souciait plus des autres, ou du moins, de leur faire du mal? Non... sans doute que si je me retrouvais en présence des autres élèves, je redeviendrais celui qui avait tout pour lui... ou qui en avait l'apparence. Mais au fond, ce n'était pas le vrai moi. C'était une façade que je montrais à tous, sauf à ceux qui me connaissait réellement.

Je finis par me reculé, alors qu'elle venait déposé un doux baisé sur mes lèvres. Jamais je ne m'en lasserait... j'en étais certain. Elle était devenu pour moi ce que je n'avais jamais trouvé chez d'autre fille. Je pouvais puiser mon courage en elle et me montré vrai... et non montré ce que les autres voulaient que je montre... c'était si compliqué, parfois... les façades que j'érigeais partait peu à peu. La preuve... je me moquais de ce que pouvait penser les autres qui m'avait vu après le moment gênant de la veille. Quoi qu'une fois revenu sur terre, ce serait différent. Car oui... je volais sur mon petit nuage. Ce nuage qui se baladait dans un ciel bleu et me soufflait au visage une centaine de sensation... Avec un petit soupire, je la serrai, puis commençai à me questionner. Que pourrions nous faire... il n'y avait presque plus personne, à poudlard, maintenant... Et... sans doute que l'extérieur serait désert étant donné que c'était l'hiver... sinon, il y avait une multitude de coin dans le château ou personne n'allait jamais. Les passages secrets, par-exemple. J'étais sûr qu'elle en connaissait au moins quelques un si elle faisait partie de l'Ap comme elle le disait... Mais cela, je m'en moquais un peu qu'elle soit dans l'Ap... Tant que je l'aimais, rien ne pourrait m'empêcher de rester à ses côtés, pas même Voldemort.

Je finis par aller lui sussurer à l'oreille :

-Je t'aime...

C'était simple... Mais voulait tout dire. Et ces mots medémangeais. Je devais les dire! Il m'avait picotter tellement d'année... un simple je t'aime... je n'avais jamais été capable de les dire à quelqu'un d'autre. Pas même à ma mère que j'appréciais grandement, n'y même à mes frères... il avait fallut dix-sept ans pour que je réussisse à les prononcer. Je ne les regrettait pas et ça me faisait du bien. Du bien, car j'aimasi et me sentais aimé... oui, toujours... j'en revenais toujours à ça. Mon coeur qui battait rapidement, sous la pulsion que lui donnait l'amour... un sentiment que peu de gens ressentait vraiment. Certains amours se tarissait... d'autres subsistait. J'osais croire que si elle n'avait pas fuit à mon secrete, que notre histoire se continuerait...!

-Je t'aime...

Des mots si vrai, si pur, si beau. Des mots qui me résumais. Étienne me reliais a la terre, et l’amour me rendait un bonheur oublier. Je l’embrassa. Simplement. Je me recula doucement, sortant du bain en silence, essuyant mon corps en regardant Étienne d’un regard amoureux. Je l’aimais. Je ne pouvais le nier, mes mensonges ne pouvant plus me trompé. La lumière éclatait dans mon cœur et dans mon âme, éclairant les dernières parcelles de noirceur. Si complètement éradiqué la noirceur était impossible, alors les deux forces était maintenant en équilibre.

J’attendit que Étienne vienne me rejoindre, Prenant une robe de chambre et regardant par une fenêtre les nuages de neige dans ce ciel d’un merveilleux bleu azur. Les nuages défilais, et je me laissais porté par la beauté du ciel envoûtant. Mais si quelque chose devais être encore plus beau que la nature elle même, s’était bien Étienne. Ces trait dur, ce corps parfait, cet amours qui nous unissais. Ces choses était magnifiques. Je sourit doucement. Si quelqu’un m’aurais dit il y a quelque jour que j’aurais réfléchit comme ça, je ne l’aurais pas cru!

-Je t’aime aussi.

Je la regardai un moment, un sourire aux coins des lèvres. Elle m’avait embrassé pour ensuite sortir du bain, saisissant la serviette pour s’essuyer et me regardant. J’eus un sourire espiègle pour je ne sais quelle raison, puis je sortis à mon tour, la rejoignant et prenant à mon tour une serviette. Je jetai un coup d’œil derrière moi, regardant le vitrail d’où on voyait tomber les flocons blancs. De la neige… cette… chose… blanche, si pur… froide pourtant… tant de contraste dans une seule chose… un peu comme moi en fait… j’avais changé. Tel la neige, la barrière de glace qui s’était érigé autour de moi au fil des ans avaient fondu pour ne laisser qu’une simple petite base… peut-être qu’elle reviendrait, comme les hivers reviennent… mais j’osais espérer que non. Sinon, que cette frontière de glace ne réapparaitrait que lorsque je serais au pris avec des sentiments néfastes qui oserait me submerger…

Je regardai de nouveau Shanelle, alors que je mettais la serviette autour de ma taille. Habituellement à cette heure, plusieurs préfets venaient prendre leur bain, mais comme on était pendant les vacances de noël, ils ne venaient pas. Il n’y en avait d’ailleurs que de rare qui restaient à Poudlard… ils se contentaient de retourner dans leur famille et passer le temps des fêtes avec eux. Depuis que Potter était directeur, il y avait des bals à chaque année pour je ne savais trop quoi… peut-être pour se rappeler le bon vieux temps… m’enfin. Je demandai à Shanelle :
-Dit, ça te dirais d’aller à Pré-Au-Lard aujourd’hui ?

Au moins, on pourrait faire quelques choses… Et pas besoin d’avoir froid, les passages secrets n’étaient pas tous condamner… sinon, j’en connaissais plusieurs que d’autre ne connaissait pas.

Je lui souris. Je passa doucement ma main sur sa joue, puis il me posa une question, question pour la quel je ne réfléchit que brièvement, la réponse déjà toute forgé dans ma tête.

- Dit, ça te dirais d’aller à Pré-Au-Lard aujourd’hui ?

- Pourquoi pas! Ça pourrait être amusant!

Je lui souris sincèrement, puis je me dirigea vers mes vêtements. En regardant comme il faut, je cru apercevoir un fantôme dans un coin, surement Mimi Geignarde. En souriant, j'ôta ma robe de chambre et enfila mes vêtements tout en replaçant mes cheveux. Je retourna ensuite vers Étienne, qui n'avais qu'une serviette sur lui. Je le regarda longuement dans les yeux, me perdant dans leurs profondeurs. Je m'approcha de lui, comme hypnotisé. Je caressa sa joue avec ma main, puis sont menton, avant de m'approché et de l'embrasser. Je mêla ma langue à sienne et je frissonna. Un baiser pouvais semblé simple et sommaire après la nuit que nous avions passé, mais ils provoquaient toujours des frissons partout sur mon corps. Je recula ensuite, puis attendit qu'il ait fini de s'habiller avant de sortir en le tenant par la main.

Je n'attendis qu'un moment avant qu'elle ne pose pose la question, alors qu'elle passait sa main sur ma joue.

- Pourquoi pas ! Ça pourrait être amusant!

En voyant son sourire, je sentis mon coeur fondre encore un peu plus qu'il ne l'était déjà. J'allais sans doute devenir ramolo du cerveau, si ça continuait... ! Mais qu'est-ce que ça pouvait bien m'importer, d'ailleurs ? Tant que j'étais près d'elle, d'une manière où d'une autre, je me sentirais vivant. Elle finit par se reculer, allant chercher ses vêtements, alors que je regardais autour, m'attendant à voir un moment donné le fantôme de Mimi Geignarde. Et je finis par la disserner près des toilettes. Dès qu'elle remarqua que je l'avais remarqué, elle replongea dans l'eau et je me retournai pour regarder Shanelle, qui finissait de s'habiller. Moi, j'avais toujours qu'une serviette, bien que ça ne me faisait pas grand chose. J'étais plutôt habitué, même si habituellement je prenais un malin plaisir à venir énervé les filles en descendant torse nu dans la salle commune, pour les rendre encore un peu plus folle. Mais maintenant, c'était le genre de chose que je ne ferais plus... simplement par respect et par amour à Shanelle.

Elle se rapprocha, posa sa main de nouveau sur ma joue et je souris, mon regard pronfondément encré dans le sien. Sa main se promena jusqu'à mon menton, puis elle vint m'embrasser, et je le lui rendis avec tendresse, avant qu'elle ne se recule. Alors je me reculai aussi et me dirigeai vers mes vêtements, les enfilant en laissant tomber la serviette sur le sol. Une fois totalement tout habillé, je me retournai et rejoignis l'autre Serpentard, lui prenant la main et me laissai entrainer. Je refermai la porte derrière moi, m'assurant que le tableau ne laisserait passer personne d'autre que les préfets. Bon... cela fait, je nous dirigeai vers les cachots, pour retourner à la salle commune. Je connaissais un passage pour aller à Pré-au-lard sans avoir froid, mais il fallait quand même des manteaux, sans quoi, rendu au village, on serait gelé comme des glaçons...

-Je connais un passage secret qui mène directement à pré-au-lard... mais il faudra faire attention. C'est dans la cave d'honeyduck... donc il faudra faire attention...

Chose qu'il ne voulait pas dire, c'était que dehors, son pouvoir de change-forme se dérèglait... et il ne savait jamais ce qui pouvait arriver dans ces cas là. Donc il ne prenait pas de risque !

Je me laissa embrassé, et je me sentis devenir toute molle. Je sentais, au plus profond de moi, que j’étais heureuse comme j’étais, que je ne voulais pas redevenir comme avant. Je voulais changer, pour lui. Parce que je l’aimais. Même si lui-même n’était pas parfaitement pur.

- Je connais un passage secret qui mène directement à pré-au-lard... mais il faudra faire attention. C'est dans la cave d'honeyduck... donc il faudra faire attention...

- Je sais du quel tu parles, je suis déjà passé la bas.

Le tenant par la main, je me laissa diriger vers les cachots pour que nous ayons prendre notre manteau. Je dis donc notre mot de passe, puis je rentra. Lâchant la main d’Étienne, je me dirigea vers le dortoir des filles en lui soufflant un baiser, alors que lui-même se dirigeait vers le dortoir des gars. Je me changea, ôtant ma petite robe bleue et enfilant un jean, un t-shirt et une veste bleu, plus approprier pour sortir à Pré-au-lard. Je prit aussi de longue botte et replaça mes cheveux maintenant secs, puis rejoigne Étienne. Étonnamment, malgré le fait que je m’ai changé, j’avais finit avant Étienne, lequel semblait chercher son manteau, a ce que je voyais. Mais rien n’était moins sur. Puisqu’il ne semblait pas avoir remarquer ma présence, je m’approcha lentement de lui, laissant au passage mon manteau sur le lit voisin. Je passa mes mains sur sa taille et me colla contre son dos. J’étais tellement bien. En regardant le lit, mille et une sensation me revinrent et je ferma les yeux en repassent à cette nuit magique qui m’avaient tout fait comprendre.

Encore maintenant, je me demandais si je n’allais pas me réveiller. Bientôt, Ashley et moi recommencerions à nous chicaner, mais le plus grand bonheur était sûrement de savoir qu’aillant maintenant 17 ans, je n’avais plus à revenir à la maison Rose, maison que je n'avais jamais considéré comme la mienne. Comme beaucoup, Poudlard était ma maison. J’avais amené toutes les choses dans mes valises l’été dernier, sachant que jamais je ne retournerais dans cette famille qui m’avait-t’en fait souffrir. Au début, j’avais pensé me faire un petit commerce à Pré-au-Lard ou sur le chemin de Traverse, maintenant, cela dépendrais sûrement d’Étienne. Dans ma tête, je n’étais pas du tout gêner à l’idée d’imaginé mon futur avec lui. Je souris en pensant à nos enfants, sûrement métamorphomage comme leur père. Je leurs donnerais tout l’amour qu’une mère devrait donner à mes enfants, tout ce que ma mère n’a jamais voulu me donner.

Je souris, puis je passa mes mains sous le chandail de celui que j’aimais. Mes mains complètement geler, j’avais hâte de voir la réaction d’Étienne. Je promena mes mains dans sont dos, me retenant presque pour ne pas rire. Je l’aimais. S’était inévitable.

-Je sais du quel tu parles, je suis déjà passée là-bas.

Sans doute que quand elle me dit ça que j’eus un air surpris. Je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’elle me dise qu’elle connaissait ce passage. Peu de monde le connaissait... quoi que venant des Serpentards ce n’était pas étonnant non plus. En arrivant devant le tableau de notre salle commune, elle dit le mot de passe et entra, lâchant ma main et se dirigeant vers les dortoirs des filles. Je souris à son baisé soufflé et me dirigé à mon tour vers les dortoirs des garçons. Je me changeai aussi, ayant conservé mon chandail de la veille, puis je me mis en quête de mon manteau. Mais où l’avais-je donc mis ? Eumh... tout disparaissait ici ! C’était à en croire que même mes vêtements étaient doué de vie ! Eurf... Ronchonnant, je relevai les draps, regardai en dessous du lit, puis revint me poster devant celui-ci pour faire le point. Y avait-il un idiot qui avait essayé de me jouer un tour ? J’espérais bien que non ! S’il y avait quelques choses que je trouvais d’intolérable, c’était bien qu’on me pique mes affaires !

Je me croisai les bras, réfléchissant avec une mine renfrogné. Du coup, je n’entendis pas Shanelle arriver dans le dortoir et je sursautai en sentant ses bras s’entourer autour de ma taille, elle appuyé sur moi. Du coup, je restai immobile, mais je frissonnai en sentant ses mains glacé sur mon dos et je ne pus résistai à avoir un frisson qui me fit tressauter. Mais je fermai les yeux, passant mes bras derrière moi pour l’enserrer. Je tournai la tête, juste pour dire que je pouvais la voir. Mais étant plus grand, je devais aussi baisser les yeux, ce qui me donnait un mal de tête. Énervé par ma grandeur, je trouvai le moyen de me retourner face à elle et je mis un doigt sous son menton, pour relever son visage vers le mien, plantant mes yeux dans le sien. Je me penchai un peu, déposant un baisé tout léger sur ses lèvres, puis je me redressai avec amusement... jusqu’à ce que je ne l’aperçoive. Hey! Mon manteau! Qu’est-ce qu’il faisait sur le support à rideau de mon voisin ? Eumh...

Une expression de surprise au visage, je regardai l’autre Serpentard et je marmonnai :

-Je crois que j’ai trouvé mon manteau, finalement... Reste les bottes, maintenant !

Je laissais toujours mes bottes avec mon manteau, mais là... je ne trouvais plus rien ! N’y foulard, n’y tuque...

-Mmmhmm... Je crois qu’il y en a qui se sont amusé à cacher mes affaires...

[Merci!]

Étienne me serra par derrière et je souris dans sont dos. Je ne me rendais pas vraiment compte que la position était inconfortable pour lui. Il sembla trouvé une position plus confortable. Il releva doucement mon menton alors je frissonna de bonheur. Il m’embrassa légèrement avant que je vois passé dans ces yeux un éclair de surprise.

- Je crois que j’ai trouvé mon manteau, finalement... Reste les bottes, maintenant !

Je le lâcha, me retournant et voyant son manteau accroché sur le support a rideau de son voisin. J’éclata de rire alors qu’il me parla.

- Mmmhmm... Je crois qu’il y en a qui se sont amusé à cacher mes affaires...

J’éclata tout simplement de rire. Sortant ma baguette, j’attira tout ce que je pouvais de simples accio. Une botte qui failli assommé Étienne, une tuque installé maladroitement sur la tête, deux mitaines attaché ensemble semblant sortir d’un tait d’oreiller, Un long foulard qui serpentais comme un cobra avant de l’enroulé autour de la jambe d’Étienne et finalement la dernière botte que j’intercepta d’un réflexe avec la main qui ne tenais pas ma baguette.

- Je crois que tu as tout!

Je dit cela en me retenant pour pas rire en voyant ces mitaine a ces pieds, la tuque mal arranger sur sa tête, son foulard enroulé a une de ces jambes et ces botte chacune a un bout du dortoir. Je lui enfonça sa tuque jusqu’au oreille et je m’approcha de lui. Je passa ma main sous son chandail Et l’embrassa du coup aux lèvres. Je m’accrocha littéralement a lui, nous faisant basculé sur le lit derrière nous. Je le lâcha enfin, les joues rouges et le souffle fort, un sourire sur mes lèvres. Je m’étendit sur le lit a coté de lui et je ferma les yeux en riant intérieurement de plaisir.

Elle éclata de rire à ma phrase et sans doute eussé-je l’air assez stupide à l’expression facial que je devais avoir. Mais peu importe. Elle sortie sa baguette et avec un sortilège d’attraction, attira tout ce qui était à moi. Je faillis me faire assommer par une botte, mais j’esquivai à temps. Il s’en était fallut de peu ! Ah... Et là, ma tuque qui venait se placer sur ma tête. Je lui avais manqué ? Sottise... c’était un objet, ça n’avait pas d’émotion ! Eumh... bah... oh... là les mitaines ! Mais qu’est-ce qu’elle faisait sous la tait d’oreiller de mon voisin ? Le foulard... qui alla s’enrouler autour de ma jambe, puis une autre botte, que Shanelle intercepta de sa main libre.

-Je crois que tu as tout !

C’était assez étrange, en fait... ! Pourquoi tout le monde s’était-il empressé de cacher mes trucs ? M’en voulait-il... à moins que ce ne soit les filles... alors là... ! Je n’appartenais à personne ! Si elle croyait pouvoir me faire changer d’avis, qu’elle cesse de se faire de faux espoir ! Perdu dans mes pensées, je ne me rendis pas compte de la situation ridicule dans laquelle j’étais. Quand je sentis la tuque s’enfoncé jusqu’à mes oreilles, je sorti de ma torpeur et regardai la jeune femme avec un air pantois. Je devais avouer que moi-même je me trouvais idiot... alors... aucun commentaire !

Elle passa ses mains sous mon chandail et vint m’embrasser, avant de nous faire basculer sur le lit, qui était toujours derrière moi. Je savais bien qu’elle riait encore de moi, même si c’était intérieurement... mais il fallait aussi dire que la situation était plutôt marrante ! Même si... bon... habituellement, je n’aurais pas ris... mais temps que j’étais avec Shanelle, je serais tout ce qu’il a de plus patient... sans elle, je n’aurais pas attendu et j’aurais tout saccagé. Un sourire aux lèvres, je me retournai vers elle, qui était maintenant allongé à mes côtés, le visage rouge et le souffle plutôt fort. Amusé, je dis :

-C’est la dernière fois que tu ris de moi comme ça, toi ! Coquine !

Je rigolai, avant de me retournai sur le côté et d’aller chercher d’autre baisé. J’étais presque rendu à califourchon au-dessus d’elle, et je devais me contenir pour ne pas éclater de rire.

- C’est la dernière fois que tu ris de moi comme ça, toi ! Coquine !

Je lui souris. Ah, comme il était bon d’aimer et d’être aimer! Il m’embrassait encore et encore, et j’avouais sans gêne que cela me plaisait beaucoup. Il était presque a califourchon sur moi, et je faillis rire à nouveau, mais ces lèvres capturèrent les miennes avant que je ne puisse faire quoi que ce soit. J’oublia ce qui se passa autour de moi et je me pressa contre lui, lui rendant tout ces baisers plus passionnés les uns que les autres. Je perdais la boule quand il m’embrassait. S’était magique. Je passa mes mains dans son dos pour le collé contre moi. J’aurais pu pleurer de bonheur.
Je cessa enfin de l’embrassé, reprenant le contrôle de moi-même. Étienne n’était pas le plus romantique des gars, mais je l’aimais. Puis, je me rappela le but de notre visite dans les dortoirs, et la raison pourquoi j’avais très chaud – j’avais toujours mon manteau. Car nous étions supposées allez à Pré-au-Lard

- Alors on va à Pré-au-Lard?

Je lui souris en lui chuchotant ces mots à l’oreille. Je me releva donc, et eu un frisson. J’avais seulement le goût de monté tout en haut de la tour d’astronomie et de crier au monde entier mon amour et mon Bonheur. Mais je ne fit que prendre la main d’Étienne qui s’était lever peux après moi.

J’en avais oublié Pré-Au- Lard. Non mais... tu parlais d’un nom... bien que j’avais souvent remarqué que les sorciers donnaient des noms bizarres aux choses... aux endroits... m’enfin bref, s’était peu important, tout ça ! Non ? Et pourquoi j’en étais venu à penser ça, d’ailleurs ? Elle finit par arrêter le baisé, alors qu’elle m’avait collé contre elle. J’eus un sourire amusé, alors qu’elle semblait se rappeler quelque chose. Je me relevai légèrement, juste pour pouvoir l’entendre parler correctement.

- Alors on va à Pré-au-Lard ?

-Ouais !

Elle se releva et je fis de même, puis elle me saisit la main. Et nous partîmes pour aller au village. Les couloirs étaient déserts et j’en étais heureux. Je n’étais pas non plus totalement habitué à ce que j’aie une copine... et ça me faisait tout bizarre que les autres le sachent. Je devais pourtant m’y faire. C’était dans l’ordre des choses... Je me demandai aussi ce qu’en penserait mes frères... sans doute n’en reviendrait-il pas. Ce serait leur genre. Même si je ne leur parlais plus vraiment, il restait dans ma famille... un peu comme mon père et ma mère... mère pas trop pire... père vraiment... une torture !

Nous arrivâmes à la statue de la sorcière Borgne et je tapai sur sa bosse, ce qui libéra le passage. Puis, nous passâmes dans le couloir et j’allumai ma lumière avec un lumos, serrant doucement la main de Shanelle dans la mienne, puis je tournai mon regard vers elle, un sourire aux lèvres. Non... je ne pouvais tout simplement pas réellement me dire que ma vie de solitaire, de reclus et de coureur de fille était terminée... Bien que je sentais que les autres n’allaient pas me lâcher avec ça. Au moins... il fallait un début et une fin à tout.

HJ: On pourra continuer à Pré-au-lard, pour le prochain poste ^O^

[Ok, je continue la bas. mais plus tard puisque la, j'ai pas trop de temps^^]

» Fin de la discussion..je mange(Shanelle et Étienne)
» Attention à vous les gars, Shanelle Rose est la!
» (suite pv Bella)
» [Suite PV Cedric]
» Suite pv Bella CS