Suite du bal [PV Shanelle][Cs]

Invité

[/code]-Je sais... mais je profite du moment présent.

- Pour l'instant, moi aussi. Dit-je dans un souffle

L'embrasser étais plus parfait que n'importe ou, que n'importe quand. Le désir me monta par dessus la tête quand ses baisés si firent avec plus d'ardeur. Je planta mes ongles dans sa peau en le serra contre moi et en l'embrassent avec empressement. Me contenir. Je devais me contenir. Non... incapable. Je s'écrasais littéralement sur se plancher de ciment et sans que je sache comment, je me retrouva a moitié sur lui, une main dans ses cheveux. Enfin, quand nous fûmes a bout de souffle, nous avons arrêter de nous embrassé mais nous ne nous somme pas décollé. Sa main sur ma hanche, l'autre dans mon dos, je transpirais de bonheur. Le sourire au lèvres, je le vit ouvrir les yeux. Je plongea mon regard dans le sien avec un frisson de plaisir. Pas gêner le moindre du monde, je laissa ma main qui étais dans sont dos et atteindre sa fesse. Mais puisque mes main étais sous sont veston, ma main avais glissé... sous sont pantalon. Et sous sa culotte. Mais cela ne me mit pas mal a l'aise. Je l'embrassa brièvement, juste assez longtemps pour sentir la vague d'émotion, juste assez cour pour pouvoir l'interrompte. Ma main se promenais doucement sur sa fesse et alors que je replantais mon regard dans celui d'Étienne, ma main se referma brusquement sur cette dernière. Je vivais... je ne pouvais pas le décrire. Je ferma les yeux quelque seconde et se rouvrit. Un bébé aurais pu voir tout le désir intense qui m'habitait. J'avais une respiration tremblante. Mais, contre tout attente, j'avais peur le l'effrayer. Je ferma donc les yeux, incapable de cacher mon besoin, mon désir.
[/quote]

[Je vais faire la suite du poste demain, juste pour ressituer)

Invité

[oki

! xd]

Je n'avais même pas senti la fois oû elle avait enfoncé ses ongles dans ma peau. J'avais trop été absorber par nos baisés pour porter attention aux autres sensation physique qui pouvait me parvenir, autre que cette chaleur et se désir intense qui me parvenait en l'embrassant. Et je ne m'étais même pas rendu compte de la position dans laquel j'étais rendu! Maintenant couché complètement sur le planché, elle à moitié sur moi, et une main dans mes cheveux. J'essayais toujours de reprendre mon souffle, alors qu'elle ouvrait maintenant les yeux et me fixait elle aussi. Sa main avait glissé plus bas, atteignant ma fesse, ce qui me fit hocher un sourcil, mais je ne reculai pas pour autant. Ce qui me surpris le plus fut sans doute le fait de constater que sa main touchait sa peau, n'était pas sur le pentalon. Je répondis doucement au baisé qu'elle m'avait donné, puis attendis, la respiration quelque peu halletante, saccadé. Elle avait fermé les yeux, et je me contentais de la contempler, jusqu'à ce qu'elle ne rouvre les yeux, de nouveau. Ce que je vis dans son regard ne m'éffraya pas, même que ça me fit plaisir... Je n'avais jamais vu ce genre de regard de la part des autres filles qui me suivait partout... je ne voyais dans les autres que de l'admiration... et je ne voyais pas du tout le désir. Certes, elle pouvait fantasmer... mais à quoi ça leur servait? Aucune n'avait eut le courage de venir me dire en pleine face ce qu'elle pouvait ressentir pour moi... Mais je ne comprenais pas toujours tout des filles, alors...

SAns avertir, je retournai attaquer sa bouche de baisé ardent, tel des braises qui demandait de l'oxygène. Je me consumais de l'intérieur, je ne pouvais pas résister... c'était incontrôlable, tout ça! Comment devrais-je gérer mes émotions? Et là, en plein couloir, je me laissais aller... j'oubliais totalement où nous étions... si quelqu'un avait remarquer, autre que mon maudit Harem, que j'étais partie... est-ce qu'elle me chercherait? J'espérais scincèrement que non... peut-être que oui, finalement, je les avais deçu... mais elles n'avaient pas saisit leur chance! Et là, sans que je ne m'en rende vraiment compte, j'avais plaqué Shanelle sur moi, de sorte que je sente le tissu de sa robe ainsi que le tissu chaud et doux de sa peau. Je remontai ma main vers sa nuque, pour la mettre sous ses cheveux et mettre ma main sur sa tête, comme pour qu'elle ne me quitte pas, pour la garder près de moi... Mais c'était simple réflexe. Il l'aimait, oui... de tout son coeur, de tout son être! Il la réclamait...

Sans que je m'en rende compte, Étienne retournais m'embrassé. La fourgue et la passion dans mes baisés étais effrayante. Je sentais mon mur de glace fondre a mesure que je mesurais a qu'elle point je l'aimais, a qu'elle point ses bras étais fait pour moi et sa bouche si parfaite. Étienne me plaqua sur lui san que je ne fasse rien pour l'en empêchez. Il passa sa main dans mes cheveux en même temps que moi je le fit avec les siens. Je ne me séparerais pas de lui. Je l'aimais. De mon âme, de ma vie, de ma chair. Je le voulais a moi. Je sentais déjà de la jalousie envers ses autres fille qui avais eu le bonheur de le serrez dans leurs bras avant moi. Je laissa tombé la colère grâce a mes baisés. Cette colère se transforma. Je plaqua mes lèvre contre les siennes sans m'arrêté pour respiré.

Je glissa mes mains sur sont veston et je commença a détacher les boutons. Je détacha ensuite sa chemise et je les fit glissé pour qu'il sois torse nue. Mes mains parcourais sa peau avec passion et j'en fit mon prisonnier. Mes bras autour de lui, caressant sont dos avec force. Mes jambes retenant les siennes, nous étions entremêler. Je pouvais caresser chaque partie de sa bouche délicieuse, gouté chaque parcelle de sa merveilleuse haleine. Je réussi tend et bien que mal a nous changé de position. Ma bouche toujours sur la sienne. Je l'avais assis accoté sur le mur. Les jambes allongé. Moi, les jambes de chaque coté de ses jambes, la robe remonté. Les main sur ses épaules pour le resté au mur et ma bouche caressant la sienne avec une passion renouveler. Je ne me souciais pas des gens qui emprunterais peut-être se couloir pour allez a la salle commune. Je l'aimais et le désir me montais de plus en plus a la tête.

Dans mon esprit, c'était le rouge total. Un rouge si ardent représentant ce que je voulais en ce moment même. Tout le désir et la passion que je ressentais pour elle. Je ne pouvais pas tout démontrer, maleureusement, étant donné l'endroit ou nous nous trouvions. Pourtant, elle, elle ne sembla pas démontrer la moindre gêne, bien que je ne résistais en rien à ce qu'elle faisait. Ainsi, sans que je n'eus rien dit, n'y la retint, je me retrouvai le veston débouttoné, qui glissa ensuite sur le sol, me laissant torse nue. Un petit courrant d'air froid provenant du bout du couloir me fit frissonner... ou peut-être que c'était les caresse et les baisés de Shanelle qui me faisait cette effet... Je ne pouvais plus bouger, j'étais emprisonner sous elle, ses jamabes retenant les miennes et ses mains, ses bras en fait, me serrant avec force.

Souriant doucement, je continuai de l'embrasser, respirant sa magnifique odeur qui m'ennivrait. Parfum? Ou odeur naturel? Aucune idée... Et là, je me retrouvai complètement contre le mur. Je m'était issé un peu, pour l'aider. Je n'avait pas lâché sa bouche, alors que je la sentais mainteant assit sur mes jambes, qui était sois dit en passant sur le plancher, droite sous elle. Elle était de part et d'autre de mes jambes, la robe relevée pour être étalé autour d'elle, tel les pétales d'une fleur s'épanouissant au soleil. Ma bouche cherchait toujours la sienne, la trouvait toujours. Je ne pouvais toujours pas bouger, ses mains sur mes épaules me planquant littéralement au mur. Dans ses geste, dans ses baisées, la passion que j'y décelais me rendais fou. Une espèce de sauvagerie intense... se désir qui continuait de me consumer... je ne pouvais pas l'éteindre, même si j'aurais eut tout les extincteurs du monde, rien n'y aurait suffit. Je ne pouvais pas, pour l'instant, m'imaginer loin d'elle, ne pas la sentir contre moi. Certes, ma réputation allait sans doute baisser... mais l'amour faisait faire des folies... et peut-être que j'étais en train d'en faire une, en ce moment même... mais je l'aimais, cette folie! J'aimais cette fille que j'embrassais... plus que tout!

Une des mes mains, celle qui était libre, alla sur son ventre, puis remonta vers son cou, pour ensuite se positionner sur sa joue. Puis, elle redescendit, allant sous la robe, sous les jupons, et allant sur ses cuisses, puis vers son derrière. Je laissai ma main là. Peu importe si elle me repoussait après ce que je faisais... je profitais du moment... je laissais ma passion débordé au point ou j'avais peur moi-même de ce que je faisais.

[Pas super, je sais LOL]

Je ne résista aucunement a Étienne. Des frissons de plaisir me parcourais. Je sentais sont désir se mêler au mien, irrésistible. Sa main se promenais sur moi. Je voulais allez ailleurs. J'y repensa quelque seconde. S'étais la soirée du mois. Personne dans les dortoirs. J'ôta mes mains de ses épaules et je lui chuchota quelque mots.

- Les dortoirs sont vide.

Je retourna l'embrasser. Avec une passion démesuré, folle. Je passais mes mains sur sont corps parfait. Le feu ardent en moi refusant de s'éteindre.

[pas grave Razz

moi aussi ça risque de pas être fort fort]

Je ne m'étais pas reculé, étant rester ainsi. Ma main était resté à la même place, soit sous sa robe, sur sa cuisse. Puis, la pression sur ses épaules, cessa, et il se recula, alors qu'elle lui chuchottait quelque mot. Les dortoirs étaient vide? Ah! Je voyais ou elle voulait en venir! J'eus un sourire, puis je la laissai me rembrasser, ce qui me fit doucement rire et frissonner. Sans rien dire, je réussis à me relever, je m'emparai de mon veston, au sol, puis, gardant Shanelle dans mes bras, je me dirigeai vers l'entré de la salle commune. Je dis le mot de passe, puis la rembrassé, me dirigeant vers les dortoirs, désert, puis je déposai celle pour qui battait maintenant mon coeur, sur mon lit. Je l'embrassai de nouveau, me penchant sur elle, la rembrassant avec ardeur, passion...

-Je t'aime... Shanelle.

Dit en murmurant, près de son oreille. Je passai de nouveau ma main sous sa robe, caressant sa cuisse avec douceur.

Il sembla comprendre. Il me prit dans mes bras et je m'accrocha a lui. Il nous dirigea dans les dortoirs. Il nous dirigea vers les lits. Il me déposa sur se qui semblais être sont lit. Il se pencha et m'embrassa, comblant ma demande muette. Et il dit des mots. des mots merveille. Des mots que je voulais entendre. Des mots qui me chaviraient jusqu'au plus profond de mon coeur.

-Je t'aime... Shanelle.

Je retint mon souffle une fraction de seconde, le temps d'assimilé tout sa. Je l'attira sur le lit et je l'embrassa avec une force incroyable, dévoilant tout mon amour pour lui.

Maintenant, la barrière était presque tombé... le Étienne glacé et moqueur que tout le monde connaissait n'était plus, en cette soiré, alors que je me trouvais près de cette fille merveilleuse qui avait réussit à me séduire. Comment? Est-ce que c'était si important, de savoir comment?Non, sans doute pas... Je me laissais aller à ce que le feu ardent en moi me disait de faire. Mon coeur et ma tête n'était plus qu'un, chacun voulant se trouver près de Shanelle... J'avais toujours voulu savoir ce que cela faisait que d'aimer réellement... mais maintenant, je ne doutais pas une seconde que ce que je ressentais était vrai. Et, sans que je n'ai eut le temps de penser, je me retrouvai sur elle, elle m'ayant tirer. Déjà, elle recommençait à m'embrasser avec force et je ne pus m'empêcher de faire de même. Comment pourrais-je ne pas lui renvoyé l'amour que je ressentais moi aussi envers elle? Je devais le montrer!

Sans que je ne pense vraiment, ma main libre se dirigea vers le dos de la jeune femme, tentant de trouver l'endroit ou je pourrais détacher la robe. N'étant pas un spécialiste des robes, ça me prit un petit moment avant de réussir cela. Mais quand je le réussis, je tentai tant bien que mal, doucement de faire glisser celle-ci, et j'y arrivai, encore une fois. Je ne voulais pas déchirer la robe, qui avait dû coûter quand même assez cher... bien que le prix, en ce moment, m'importais peu. Toutefois, ma patience avait des limites, et je tremblais légèrement. J'avais maintenant quelque difficulté avec le bas de la robe, qui semblait avoir été conçu pour m'énerver... Pourtant, je me fis d'une douceur iné, tendre, alors que je me soulevais pour mieux faire glisser le reste du tissu qui recouvrait Shanelle. Je n'avais pas, pendant tout ce temps, cessé de l'embrasser, avec de plus en plus d'ardeur. Et, pensais-je, une chance que je contrôlais mon morphormage! Sinon... sans doute que cela aurait parut... autant la colère, que la passion dévorante qui me prenait jusqu'au plus profond de mon être.

J'avais toujours une main sur sa cuisse, et l'autre qui était libre se posa sur son ventre, pour descendre doucement sur sa taille, puis lentement dans son dos. Je passai mon bras et la collai contre moi, voulant sentir sa peau chaude et douce contre la mienne. J'avais besoin de ce contact... Je me sentais bien, là, en ce moment... bien contre elle... alors que tout le monde se trouvait en bas, dans la grande salle, à festoyer, à fêter... à danser.

Ces baisé me rendais folle! Comment résisté a cette vague de désir? Je sentie la main d'Étienne dans mon dos. Je savais ce qu'il tentais de faire et cela me fit sourire sur ses lèvres. Enfin, il réussi. Mais il restais un défit de taille et je le sentais tremblé. Moi même, je tremblais légèrement, impatiente. il semblais avoir de la difficulté avec le bas de ma robe mais je ne fit rien pour l'aider, m'amusant a le voir asseyez de faire attention. Enfin, il réussi a me retirer complètement ma robe. La douceur de ses geste me prouvais qu'il n'étais vraiment le Étienne qu'il tentais de faire paraitre. Naturellement, je n'étais pas non plus la Shanelle que je laissais paraitre. Et j'allais asseyez de lui montré. Mais sont ardeur commençais a me monté a la tête.

Sa main étais toujours sur ma cuisse. L'autre se glissa sur mon ventre, puis sur ma hanche et il termina dans mon dos nue. Il me colla contre lui et je sentie que les chaine d'acier qui nous reliais en se moment venais de se renfoncé. Sont harem allais devoir l'admettre, ces moi qui avais volé le coeur de leur magnifique fantasme. Mes main, toujours dans sont dosa le caressé doucement, descendirent un peut plus bas. sur ses hanche, j'alla détacher le bouton qui retenais sont pantalons. La passion folle me rendais douce, impatiente, amoureuse. Je descendit avec une lenteur exagéré sont pantalon. Mon tremblement s'accentua. Mais je continua a lente descente de ses pantalon. Je me débarrassa de mes soulier et je débarrassa Étienne des siens avec mes pieds, ne pouvant me résigner a arrêter de l'embrasser. Je descendit le reste de sont pantalon. J'enroula mes jambes autour de sa taille. je ferma les yeux et je me laissa complètement emporté par les caresse d'Étienne qui me valais des frissons continue.

Plus rien n'existait autour de moi. Je n'étais qu'une boule de chaleur qui voulait exploser... Je ne pouvais contenir toute cette émotion qui me submergeait et manquait de me rendre fou. Mes tremblements ne s'était pas totalement envoyé. J'étais toujours aussi impatient... comment aurais-je pu ne pas l'être, d'ailleurs? Aucune parole n'était échangé, mais je savais d'or et déjà que la phrase que j'avais dit plus tôt était partager entre elle et moi. Nos deux corps se comprenaient parfaitement, je n'en doutais pas le moins du monde... Des baisées, encore des baisées... toujours et encore... Qui aurait pu croire qu'un jour je me laisserais aller ainsi? Que je le pouvais, en tout cas? Certainement pas moi! Mais, à ce que je ne cessais d'entendre, l'amour pouvait changer une personne... peut-être que le Étienne que j'avais été changerait dû tout au tout... ou il changerait simplement avec Shanelle. Je ne savais même pas moi-même... mais une chose était sûr... je n'étais plus totalement le même. Le moi intérieur doux et compréhensif ressortait... sans que je ne puisse empêcher ça.

Je frissonnai doucement, alors que mon pantalon glissait, doucement. Elle l'avait déboutonné et commençait à le descendre. Je ne me rappelais même plus que j'avais eut des souliers... je m'en rappelai au moment où elle me les enleva avec ses propres pieds. Finalement, je fus débarasser de mon pantalon et des jambes entourèrent ma taille. De nouveau, un frisson, et des tremblements. Je descendis un peu ma tête, embrassant la comissure de ses lèvres, pour descendre dans son cou et remonter par la suite, ayant reprit ma respiration, puis je repartis à l'assaut de ses lèvres invitantes. J'avais de la difficulté à me contrôler, garder mon sang froid et tenter de garder le contrôle de mes émotions... mais elle débordait tellement que je ne pouvais les rattraper facilement. Il me fallait un effort surhumain pour que je puisse continuer de l'embrasser avec une passion douce et non sauvage, déchirante. À vrai dire... je ne me reconnaissais plus vraiment... Jamais je n'avais été ainsi... et, sans doute me serais-je remarqué de haut, comme un esprit, que j'aurais eu peur...

Sans réfléchir davange, mes mains légèrement tremblante parcoururent le dos de Shanelle, à la recherche de l'endroit ou je pourrais "déclipper" le sous-vêtement du haut. De nouveau, je le trouvai, et je réussis à l'enlever. Je ne portai pas attention à ce qui se trouvait là, cependant, tellement j'étais absorbé plus haut, sur sa bouche. Je fis subir le même sort au sous-vêtement du bas, même si je ne savais pas comment j'y étais parvenu... se serait peut-être une question sans réponse, étant donné qu'elle avait ses jambes enlacer autour ma taille... peut-être avais-je déchirer, arracher le vêtement, sans le vouloir... Moi, je la plaquais toujours contre moi, continuant de la mitrailler de baisé amoureux et langoureux.

Je sentais d'avance chaque mouvement qu'il allais faire, chaque petit mouvement. Il détachât mon soutien gorge. Je n'avais pas remarquer a se moment que je me retrouvais a moiter nue. Il m'enleva aussi mon bas. Comment? Bonne question. Je ne sais pas plus que vous. Tout sa pour le retrouvé complètement nue devant celui dont je ne pourrais surement jamais me séparé malgré ma promesse. Il me plaqua complètement contre lui, sans que je puisse rien faire. Mais je ne voulais rien faire d'autre que de l'embrasser.

Je me dégagea pourtant, non sans difficulté, de sont étreinte. Sans décoller ma bouche de la sienne, je me mit a genoux de coté et je descendit sont boxer. Maintenant complètement nue lui aussi, je me coucha a coté de lui et je passa mes main sur sont torse jusqu'à me rendre a sont dos. Je descendit ma main a ses hanche pour lui prendre une fesse. Je le cola brusquement sur moi, l'autre main dans sont dos. Mes baisé, puissant, me faisais presque craindre de lui faire mal. Je roula légèrement pour me retourné sur lui. je sentais chacune de ces courbes, de ses muscle contre les miens. Le lit tremblais en même temps que moi. C'étais fou. Comment avais-je encore la force de patienté? Je ne le savais pas vraiment.

Je sentis le mouvement qu'elle faisait pour se dégager de moi, aussi, je mis plus de lousse entre elle et moi, pour qu'elle puisse bouger librement. Toutefois, nos bouches ne s'était pas lâcher, continuant de se toucher, de s'embrasser. Je me retrouvai dépourvu de vêtements, mon boxer étant tombé au sol... nu. J'étais maintenant nu... contre elle. Cette réalité était... étonnante! Mais si plaisante à la fois... comment avais-je pu passer à côté de cette sensation merveilleuse pendant des années? sans doute parce que ma perle rare était maintenant avec moi... J'eus un frisson lorsqu'elle descendit sa main sur ma hanche, pour baissé jusqu'en bas, atteignant ma fesse, en fait. L'autre main était dans mon dos. Je ne pouvais me dégager... mais le voulais-je vraiment? Non.

Ses baisés se firent plus puissant, et les miens, plus insistant. Le lit tremblait maintenant, et je m'en rendis compte. Shanelle tremblait aussi... Et sans doute que je tremblais aussi, sans m'en rendre compte. C'était insoutenable, tout ça... l'impatience... oui, j'étais impatient! Elle était maintenant sur moi... même si je ne savais pas comment nous en étions arrivé à cette position. Temps de mystère, encore et encore... Parler... non, pas maintenant! Ne pas gâcher ce moment. Sa peau contre la mienne faisait gronder ce monstre de désir en moi... de passion. Encore ce même feu qui me disait d'aller encore plus loin... Une pars de moi hésitait, l'autre me disait d'y aller... lequel devais-je choisir? Ne pas faire attention... faire attention... oui, non, oui non... Bon sens...! Sans doute que nous ne serions pas ainsi emmêlé si ce n'était pas ce que elle voulait, n'y ce que moi, je voulais! C'était... Forking, tu es stupide!

[oui... je fais poiroté... je sais... j'aime pas prendre les devant xD, mais si tu veux pas le faire, je peux toujours essayer de rajouter quelque chose Razz

]

Impatience. Désir. Amour. Les sentiments sont tellement compliquer. Comment décrire ce que je ressentais vraiment si il n'y avais pas de mot pour le décrire? Toujours, au fond de moi, cette être plein d'amour avais existé. Celle que je me forçais d'être n'étais plus en ce moment. Il n'y avais qu'Étienne et ce que j'avais a lui offrir. Mon amour. J'étais moi. Complètement moi. Entièrement moi. Peut-être un peu plus. Je cessa de l'embrasser un instant, seulement pour voir tout le désir qui émettais de lui. Comme de moi. Tout étais différent. Plus doux et plus fort, plus dur et plus facile. Je le sentais réceptif a chacune de mes caresse, de mes mouvements. Je savais qu'il en avais envi. Mais chez moi, elle commençais a me démanger, a me contrôler. Quelque seconde avant de devoir lâchez prise, de me laisser allez, de laisser mon désir prendre le contrôle et mon corps et de devenir la spectatrice de 1ère place. Ses quelque secondes finirent et je me laissa doucement tombé sur son torse. Bougeant lentement, je sentais que cela allais être facile, plus facile qu'avec n'importe qui.

Je glissais, tentant de gardez le contrôle encore un peu, mais incapable de retenir cette chose qui me donnais mal au ventre. Je me laissa allez. Corps plus mou et plus dur a la fois, je m'abandonna. Sans tenter de cacher ses son étrange, sans me cacher. La chaleur me donnais des rougeurs, rendait mon esprit complètement hors de contrôle. Mais même si mon désir se faisais ardent et qu'il me consumais de l'intérieur, celui si me guidais, me disais d'allez lentement. J'arrêta de pensé. Je le fit doucement, trop lentement, entrer en moi. Cette sensation. Folle. Euphorique. Déjà et jamais ressentie en même temps. Meilleur que jamais. Respiration plus forte. Difficulté de respirer. Bonheur. Intense. Bonheur tellement grand que je sentais mon coeur prêt a exploser. Je chuchotais des mots incompréhensible. Mais un mot compréensible sortais parfois de moi. "Étienne". Je retourna l'embrasser. Différemment de plus tôt. Alors que mon corps s'agitais de plus en plus, mes baiser se faisais doux, invitant. je passa mes mais sur sont corps. Yeux a moitié fermé, regard invitant. Je lui donnais une invitation. Une invitation a mon corps. Allais t'il l'accepter?

[ Correct lol]

Je ne pouvais plus osé reculer, maintenant. Tout en moi me criait de m'abandonner à elle et de l'aimait, du plus profond de mon être. Comme si ce n'était plus... moi qui contrôlait mon coeur, mais comme si c'était cette boule de désir qui m'envahissait et me faisait chavirer... la première fois que je ressentais une telle sensation... c'était... renversant! Elle avait finit par cesser de m'embrasser, pour faire je ne sais quoi, mais sans doute que j'aurais tout donné pour ne pas me voir dans cette sorte de transe... Une transe pourtant si bienfaisante...! Je la sentis "tombé" sur mon torse, si tel était le mot. Peut-être qu'il n'était pas approprié... mais je savais, je pouvais le deviner... ce n'était pas totalement Shanelle qui contrôlait ses faits et geste. C'était autre chose. Le désir qui nous menait tout les deux. D'ailleurs, ça me faisais la même chose. C'était halucinant comme j'avais tout oublié mon environnement... Sur un lit, mon lit, je la sentais sur moi... contre moi. Rien pour nous empêcher de faire ce que nous voulions le plus.

Elle se laissa glissa, sans doute pour arrivé plus bas, mais je sentis ce mouvement, comme je pouvais aussi sans doute sentir le désir qui émanait d'elle. Un certains plaisir me prit, à l'entendre. Je ne me contrôlais plus moi-même, et je le savais, même si je pouvais comprendre et sentir tout ce qui se passait autour de moi. J'avais des yeux et des oreilles... mais pas le reste. Mes bras, mes jambes... je ne les contrôlais plus... Tout ça, s'était ce sentiment. Je la voulais! Ce corps si magnifique, pour moi, en tout cas... juste sur moi, sur le mien. Et, très bientôt, doucement, je fus dans le sien. C'était... indescriptible comme sensation. Je ne pouvais pensées à autre chose qu'à ça, en ce moment... Aimer cette fille, la faire mienne, d'une certaine façon. Je m'abandonnais en elle... Mon coeur pompait à cent mille à l'heure, comme s'il voulait quitter mon envellope charnelle pour aller rejoindre celui de celle avec qui il battait à l'unisson. Puis, de nouveau, je me dis embrasser... deux sensations si semblable, mais d'une manière différente. Je me térrifiait moi-même de penser ce genre de chose... mais peut-être étais-ce la preuve que je pouvais être différent... J'avais toujours eut peur de devoir aimer une fille et de changer, trop, pour que mon entourage ne m'accepte plus. Mais j'allais tenter le diable... personne ne m'empêcherait, même pas moi, à aimer cette fille avec qui je partageais ce moment de folie. Sans avoir prit de précotion, rien!

Je rouvrit lentement les yeux, croisant le regard invitant de Shanelle, qui prononçait mon nom au travers de mot et de phrase innaudible. J'eus un légé sourire, continuant de l'embrasser tout en douceur, avec amour et passion. Ce feu qui s'était montré si ardent au début commençait à s'apaiser, pour devenir plus doux, lui aussi. Mes mains parcoururent son corps, ce corps qui, en ce moment, était presque miens... pour ne pas trop me montrer avare non plus. Je ne contrôlais pas non plus mes mains, alors j'espérais que je ne me montrais pas trop embitieux en passant de cou pour descendre jusqu'à son ventre, passant au passage sur sa poitrine, ne m'y attardant pas, pour ne pas qu'il y aie de malaise. La dernière chose que je voulais, c'était bien ça! Façon de parler, bien sûr... Même qu'une de mes mains descendit un peu plus bas, mais je réussis à me stopper attend, combattant ce désir farouche qui voulait aller plus bas. Mais ma partie consciente de mon être ne voulait pas, encore une fois, aller trop loin et mettre l'intimité de la jeune femme en périle...

Le plaisir. Quelque chose d'incontrôlable et de si bon, qui pouvais tellement nuire dans certaine situation. Quelque chose qui succédais parfois le désir. Comme en se moment. Mais il s'apaisait. Tout comme le feu qui me déchirais le ventre. Il devenait plus supportable. Je me sentais unie avec Étienne. Comme si nous étions un seul corps. Une seule personne. Je sentais ses mains sur mon corps. Je ne me sentais pas mal a l'aise. Mon corps étais le sien. Entièrement. Comment résisté a un corps si parfait, a un gars qui voulais de vous? Moi, je ne pouvais tout simplement pas résisté.

Je l'embrassa avec une douceur. Une douceur qui me fit peur. La peur de trop changer, de ne pas pouvoir être assez moi, être trop douce, devenir vulnérable, avoir de besoin de quelqu'un pour me protégé. Je relâcha soudainement tout mes muscles. Des larmes embrumaient mes yeux. Pourquoi? Je venais de me souvenir. De me souvenir se qui s'étais passez pour que je me retrouve avec lui dans le couloir. Mes pleur. Le retour des moments difficile. Je serra Étienne contre moi, les larmes coulant sur sont torse.

J'avais cessé de bouger, au moment même où j'avais sentis qu'elle n'était plus toute là. Je rouvris doucement les yeux, la regardant, sans pour autant avoir l'air stupide et de poser un regard plein de curiosité sur elle... C'était plutôt un regard doux, que je ne me connaissais pas moi-même... un regard qui se voulait peut-être... rassurant... je ne sais pas. Je déposai un baisé sur sa tête, alors que je sentais couler sur moi des larmes... qui m'était encore une fois de source inconnue... Peut-être que je pourrai un jour lui demander ce qui pouvait provoquer un tel changement... mais pour l'instant, je me contentai de la serrer contre moi, pour lui prodiguer récconfort. Peut-être que je ne réussirais pas, ne comprennant pas totalement le mal qui l'encérait... ce qui pouvait lui faire du mal, en un coup... sans que je ne sois prévenu. C'était arrivé subitement...!

Je mis une de mes mains à la base de sa nuque, caressant celle-ci, tout doucement. Je ne dis plus mot, me contentant de la laisser pleurer. Certes, j'étais décontenancé, mais que pouvais-je faire, sinon attendre qu'elle se calme? Tout cela me paraissait étrange, vu d'un certain point de vu... je me sentais étrange, aussi... changé... trop changé... Qu'allait-il advenir du lendemain, et de la manière dont je réagirais envers tout le monde? Serais-je de nouveau... le moi que je montrais... ou mon moi intérieur? Que de dilemne pour une seule personne... Mon père avait toujours voulu que je marche dans ses pas... et moi, je con que j'étais, j'allais voulu le dépasser... sans compter que je voulais "trucider" le seigneur des ténèbres... c'était sans doute ce qui me faisait le plus peur. Je savais, qu'un jour je devrais prouver ma valeur... mais c'était une tout autre histoire... même si j'avais maintenant une raison de craindre la mort... l'amour que j'éprouvais pour Shanelle était plus fort que tout.

[Moi qui croyait que je ne ferais même pas cinq lignes! Shocked

]

Je me haïssais. Pourquoi devais-je constamment gâcher de si bon moment? Pourtant je ne me sentais pas coupable. Ni humilier. Peut-être incomprise mais cela n'étais pas important. Parce que pour la première fois de ma vie, quelqu'un m'aimais. Quelqu'un qui m'aimais et que j'aimais plus que tout. plus que ma propre vie. Plus que tout le monde que je m'étais construit. Il ne pouvais comprendre. Pas encore. Il finirais par y arrivé. Arrivé a comprendre mes larmes, a lire en moi, a m'aimer vraiment. Parce qu'un moment comme sa ne dure qu'un moment, après il se brise. Et cela fait mal. La découverte, brutale, du vide. Je ne voulais pas de ces émotion une nouvelle fois. Mais on ne se connaissais pas. Pas vraiment. Même si l'amour que j'éprouvais pour lui dépassais tout ce que je n'avais jamais éprouvé, tout l'amour que je voulais donner.

Doucement, je me retira. Doucement. Je me leva au ralenti. Mes larme, silencieuse, coulais de plus en plus sur mes joues. Je me retourna légèrement vers lui. Je déposa doucement et amoureusement mes lèvres sur les siennes. Pour dire que cette soirée avait été extraordinaire, qu'elle voulais dire quelque chose, pour lui dire, surtout, par dessus tout, que je l'aimais. Un baisé léger et passionné, un baisé inoubliable, un amour merveille. Je partie me mettre en pyjama, ramassant mon linge sans un mot et allant dans mon dortoir. Je ne voulais pas qu'il vienne me rejoindre. Mais au plus profond de moi, je savais que j'avais besoin de lui. Plus que tout.

Je ne pouvais pas expliquer le sentiment que je sentais en ce moment même... peut-être de... l'indignation? Non... même pas. La partie méchante de mon cerveau m'ordonnait de tout faire pour la faire culpabiliser, comme la partie qui l'aimait voulait tout faire pour la réconforter... les larmes qu'elles versaient me tombait littéralement dessus, mais je ne cherchai pas pour autant à les essuyer, à enlever toute trace de leur présence. Je ne comprenais pas ce qui se passait dans la tête de la jeune fille... ça me perturbais... Comment pouvais-je oser comprendre... si personne ne m'expliquais... elle en l'ocurence. Maintenant, je me sentais idiot. Je n'avais pas bougé... après qu'elle soit partie, en me livrant un dernier baisé légé... que je n'oublierais jamais. Cela ressemblait étrangement à un baisé d'adieux, mais cela me réfutait. J'avais besoin d'elle... de l'amour que personne d'autre ne m'avait apporté avant se jour... Je ne pouvais pas oublier les émotions qui s'étaient éveillé en moi... une flamme qui était maintenant en manque d'oxygène... C'était intenable...

Je finis, toujours aussi ahuri, par me redresser sur le lit, puis je me penchai pour ramasser mes vêtements au sol, les secouant, puis les repliant. Mes gestes se faisaient mécanique... mais je voulais comprendre quelque chose. Un mystère... que moi seul je devrai découvrir. Mais encore là, je ne chercherais à le savoir que lorsque je saurai que Shanelle me fait vraiment confiance. Avec un soupire, je mis d'autre vêtement dans mes valises, un chandail et des boxers, en fait, puis restai assis là, tel un idiot... le dernier baisé qu'on avait échangé me revenais en boucle... J'eus un froncement de sourcil, puis je me laissai retombé dans mon lit, la main dans les cheveux. Étrangement, ici, je me sentais mal. Mal, car cela avait été le lieu de la passion échangé en moi et l'autre Serpentard... pourtant, la fatigue m'emportais, dissipant mon malaise... je plongeai dans le sommeil... énervé et ensommeilé... incomprit... ne comprenant rien...

Je ne pensais qu'à lui. Et je me maudissais. J'aurais au moins pu attendre le lendemain matin! Mais surement, comme je le présumais, j'en aurais été incapable. Incapable de le quitté, lui, l'homme que j'aimais, le gars de mes rêves. En fermant les yeux, je ne voyais que lui. Que sont visage de dieu. Seulement se qui me faisais mal. L'avoir quitté. Devoir le quitté. Sans pouvoir lui reparlé. De peur de craquer. Je m'endormit sur ses pensés sombres.

Je me réveilla en larme. J'avais rêvé a lui. Naturellement. Comment pouvais t'il en être autrement? Mécaniquement, sans le vouloir véritablement, je me tira du lit. Tout me rappelais Étienne. Se lit si semblable au sien, tout. Le corridor que je devrais emprunté, la salle de bal, je ne voulais pas sortir. Je jeta un coup d'oeil a l'horloge. 11h55! Les serpentard allais entré dans la salle commune dans quelque minute. J'éclata en sanglot. Complètement. Incapable de m'arrêté. Pourquoi tout est si complique? Pourquoi je ne pouvais pas vivre une simple et belle histoire d'amour? Surement parce que je ne ressemblais a personne. J'étais plus unique que tout le monde. J'étais maudit. Pourquoi ma mère aurais agit ainsi si j'aurais été quelqu'un de bien? Je ne méritais pas Étienne. Je ferma les yeux et je m'habilla en vitesse, tentant de séchez mes larmes abondante. Plus que quelque seconde... Je ne pouvais allez le voir. Mais en fait, je le voulais. Je voulais qu'il me tienne dans ses bras en me consolant, en me chuchotant des petits mots. Je voulais qu'il m'embrasse calmement en me disant que tout allais bien, comme il l'avait fait. Je tremblais. Comment réagir? Attendre que tout le monde envahisse le dortoir ou allez le retrouvé?

Je sentie ma résistance fondre. Je n'avais pas véritablement décidé. Je le savais depuis le début. Mais je ne voulais pas me l'avoué. Je marcha d'abord lentement jusqu'à courir. Je rentra dans le dortoir des gars et je le vit. Enfin. Doucement je m'allongea a ses coté. En tremblant, me demandant presque si je rêvais, je déposa un baisé sur ses lèvres. Mes larmes recommençaient a coulé. Mais j'étais heureuse. A en versé toute les larmes de mon corps. Je passa mes bras autour de lui. Le contact s'approfondit. Sans lui laissé le temps de se réveillé, je l'écrasa sur le lit. Un sourire éclatant s'empara de moi. Je me sentais revivre, comme une fleur au lever du jour.

Ma nuit fut mouvementé. Sans doute que ce départ précipité de Shanelle m'avait bouleversé plus que je ne l'aurais crut... Des rêves... plus noir les un que les autres... certain me rappelait les moment que j'avais vécu la nuit de la veille de Noël. Jamais je n'avais eu à vivre ce genre d'émotion et tout cela m'avait... étonné. J'avais surtout été surpris de ce que j'avais fait... car sans doute qu'autrement, avec une autre fille, jamais je ne me serais laissé aller... Il avait fallut des années, avant que le Étienne qui était apparut à Shanelle hier soir, apparaisse complètement... même encore là... Je ne savais pas totalement comment réagir. Déjà, le soleil entrait par les fenêtres. Pourtant, je ne me réveillai pas. J'étais encore... fatigué, à cause de ce qui s'était passé... en plus de la quantité d'alcool que j'avais absorbé pendant le bal. Mais encore là, ce n'était pas totalement une raison pour être si fatigué. Vers huits heures du matin, je me réveillai... mais finit par me rendormir. Bientôt, les dortoirs seraient assaillient par les autres Serpentards, et mon sommeil serait de moitié troublé, sauf si je dormais comme une buche.

Pourtant, ce fut autre chose qui me réveilla... je ne savais pas il était quel heure, mais peu importait. Ensommeillé, je dû faire une effort considérable pour entrouvrir les yeux, mais les refermai presque immidiatement. Trop brusque comme réveille... Encore un peu... de temps. J'allais passer un bras autour du corps de l'autre Serpentard, mais je n'en eus pas le temps. Je me fis litéralement écraser, par cette jeune femme que j'aimais temps, et je sentis ses larmes glissé sur ma peau. Un sourire apparut sur mes lèvres, puis j'entrouvris les yeux, pour de bon, cette fois-ci. Mes questions de la veille était toujours là, mais je les mettais en sourdine. Elle voulait encore de moi, c'était l'important. Elle ne me repoussait pas... je ne voulais pas qu'elle me repousse, tout simplement... J'avais besoin d'elle!

Je l'enlaçai quand même, de mes deux bras, un un peu plus haut, l'autre un peu plus bas, puis allai chercher un autre baisé, doux mais bref, sur ses lèvres. Je me reculai doucement, la regardant un moment, avec un de ses regards qui semblait tout dire en même temps... Je ne voulais pas la brusquer... mais même si je ne voulais pas cela, mes yeux mentaient toujours!

[J'ai pas beaucoup de temps désolé Rolling Eyes

]

J'attelais. De bonheur. Il voulais de moi. Il me rendais mes baisé. Il entoura mon corps de ses bras et je frémis. J'entrouvris les yeux et je le croisa. Sont regard magnifique, tellement semblable a celui d'hier, je ne m'y trompais pas. La flamme dans le fond de ses yeux, j'aurais sans aucun doute répondu a sont désir, qui étais parfaitement en écho avec le mien, mais l'heure me resta en tête. Je sourit doucement, caressant doucement sa bouche avec ma langue. Je lui chuchota doucement quelque mot, pas que je voulais rompre nos... comment dire... Retrouvailles?

- Il est 11h58...

Pourtant, je retourna l'embrasser a pleine bouche, respirant sont haleine a pleine bouche, ce corps que j'avais quitté trop tôt se soir la...

[pas grave... moi non plus pour l'instant]

Je ne la quittais pas. Son regard, en fait... Cela m'ençorsellais et je ne pouvais plus dévier le regard. J'étais plongé dans celui-ci, pensant à la veille... Cette nuit avait sans doute été la première fois où j'avais autant culpabilisé à cause d'une fille... même si je ne savais pas vraiment ce que j'avais fait. Je décidai de mettre mes questions de côté et attendit un moment. J'aurais pu retourner l'embrasser, mais j'attendis qu'elle parle. Quoi? Déjà 11:58? J'avais tant dormis que cela? J'eu un légé froncement de sourcil qui disparut instantanément lorsqu'elle vint m'embrasser. Je lui répondis immédiatement et ne lui donnai pas de répit. Je me moquais pas mal de ceux qui pourrait débarquer dans la salle commune, pour monter dans les dortoires en ce moment même... je m'en contrefoutais! Ce que je voulais, c'était rester avec celle que j'aimais... C'était comme si je sentais qu'elle allait partir...

Je le serra contre moi en tremblant. Mon souffle heurté ne me dérangeais pas, pas ten que lui étais dans les parage. Je retourna l'embrasser, doucement, passion débordante. Je passa mes doigt sous son chandail. La cloche de midi sonna mais pourtant, je n'entendit personne. Sauf peut-être le professeur parlé.

- Le dortoir ouvrira plus tard. Deux classe vous on été aménagé au 2e. Et que sa saute serpentard!

Cette fois si, je ne me gêna pas de peur d'être surprise. Je me jeta sur Étienne, incontrôlable. Je l'embrassa comme jamais, plus convaincu que jamais. Maintenant je savais, je ne pouvais le quitté. Et pourquoi ne pas poursuivre ce que j'avais interrompu la veille? Mais avais t'il le gout? Je me secoua la tête. Au pire, il me repousserais. Je n'en serrais pas gêné. J'ôta mes vêtements sans lui demandez sont avis. Je les laissa tombé je ne sais ou. Plus rien n'avais de sens. Je le déshabilla aussi et une vague d'excitation me traversa, refusant de disparaitre. Je tremblais a force de devoir me contrôlé. Je feu étais plus puissant, je le sentais me consumé. Je pria pour qu'il ne me repousse pas dans mon élan de passion. Je retrouva une ardeur perdu. Je s'avais a quoi m'attendre. Mais peut-être que mon souvenir amplifiais mes fantasmes? Comment je pu faire sa? je ne sais pas. Mais je me retrouva sous lui. Sont poids sur moi ne causais aucun problème, sinon que cette proximité me rendais folle. La respiration tremblante, je fit durée l'attente qui rendais le désir encore plus fou, encore plus fort. Mais je céda. Je ne le fit pas rentré en moi mais je bougeais. Le poids d'Étienne rendais le vas et viens plus difficile, mais oh combien plus excitant! Je ne croyais pas sa possible. Malgré ma douleur aux jambes, je n'avais pas mal. Sont corps contre le mien, mes tremblement de plaisir et de désir. Je n'avais pas été comblé hier. Pas complètement. Je l'embrassa avec une nouvelle ardeur, toujours mieux, toujours plus fort. Se simple mouvement des hanches me rendais folle. Je gémissais en attelant, voulais poussé tout plus loin. Mais qu'allait t'il pensé si cela ne lui tentais pas vraiment? Mais malgré mes efforts pour me contrôlé, je ne me résignais pas. Ou plutôt, mon corps ne se résignais pas. Il en voulais plus et moi aussi. Je ne gênais plus. Mon corps avais remporté la partie sur la raison, une fois de plus. Je ne fit pénétré en moi. Un frisson me parcourue. s'étais fait. doucement, je commença a bougé, le mouvement se faisant plus fort, plus grandiose. J'avais de la difficulté avec ma respiration. Mais j'attendant, parcourant sa bouche de baisé enflammé, une réponse de la part de celui que je n'oublierais jamais.

Le son de la cloche m'importe peu. Je restais là, à contempler celle que j'aimais... Au moins, les dortoirs ne s'ouvriraient pas immédiatement, c'était déjà ça. Je sentais les doigts de Shanelle sous mon chandail, faisant parcourir des frissons tout le long de mon corps. Je n'avais même vraiment conscience d'où j'étais et ce qui pourrait se passer celon le geste que nous avions fait hier soir. Encore là, se serait étonnant qu'il arrive quelque chose de malheureux! Je l'avais aussi embrassé, mais chose qui me surpris, elle enleva complètement ses vêtements, faisant de même avec les miens, et je me retrouvai, sans aucune explication logique, par-dessus elle. Tremblant, je ne fis pourtant rien, la laissai faire... elle ne semblait pas vouloir partir, mais je n'étais jamais assez prudent.

Après un long frisson qui sembla me durer une éternité, je l'embrassai avec fougue, alors que je tentais malgrer moi de ne pas tout mettre mon poid sur elle, pour ne pas l'écraser. Hélas, mes bras, tremblant, ne m'aidait guère. De nouveau, cette chaleur, ce feu intense et dévorrant qui me rongeait de l'interrieur... je ne pouvais pas lui résister... mais pourtant, je me demandais toujours pour elle agissait ainsi... pour elle avait soudainement décidé de revenir vers moi. Mais il n'y avait, je le savais très bien, que les fous qui ne changeaient d'idée! Sans m'en rendre compte, j'eus un légé sourire, tout en retournant l'embrasser, en me sentant entrer en elle, continuant toujours de lui donné des baisés passioné, inlassablement long... et exitant! Plaisant... Doux... Bon sang...

La respiration de nouveau sacadé, je plaçai mes mains sur son ventre, cette peau nue que je trouvais si douce et attirante...Tout en elle m'attirait... Autant caractère que physique, même si je ne me serais jamais arrêté à cela... M'enfin... De toute façon, c'était la première fois que de tels émotion éclataient en moi... et ça me faisais toujours aussi bizarre. Mes mains continuaient de se promener sur son corps, pour finalement terminer sur ses hanches, restant là, sans pour autant cesser de caresser sa peau. Je l'embrassais toujours à pleine bouche, sans doute encore plus ardement que je ne l'aurais crut moi-même. Comme si j'avais peur de la perdre de nouveau. Ce qui pourrait très fortement arriver, à ce qu'elle m'avait dit la veille... même si au fond de moi, je n'arrivais pas à croire qu'elle puisse m'abandonner... Et là, le Étienne idiot répondait : Qu'une fille comme elle puisse m'abandonner! Impensable! Il faudrait être stupide...!

Mais l'autgre Étienne ne voulait plus penser ainsi... le bon en avait assez de tout ça...

» Fin de la discussion..je mange(Shanelle et Étienne)
» Attention à vous les gars, Shanelle Rose est la!
» Suite pv Bella CS
» (suite pv Bella)
» [Suite PV Cedric]