Suite du bal [PV Shanelle][Cs]

Je me sentais mieux qu'hier soir. Surement parce que je me savais incapable de le quitté, surement aussi parce que je n'avais plus peur qu'il me repousse. Je me donna corps et âme a cet être merveilleux, sublime et impensablement beau qu'étais Étienne. Je sentais qu'il voulais moi autant que je voulais de lui, même si je ne croyais pas sa possible. Un feu. Brulant, tellement dur a apaisé. Mais qui me faisais ressentir tellement plus! Je me rendais compte aujourd'hui que faire cela sans amour, se n'est rien. Sa ne veux rien dire. L'émotion me prit. Encore des larmes. Je ne les avais pas toute déversé hier soir, dans mon lit de l'autre dortoir? Peut importe. ses larmes étais de bonheur, qu'un infini remerciement. Sans l'homme si troublant présent sur moi, je n'aurais pas changé. Je n'aurais jamais comprit ce qu'étais l'amour. Je soupira de bonheur. Littéralement.

Ses main d'apollon se plaçaient sur mon ventre et ma respiration, tout comme la sienne, devint saccadé. Seul ses main sur mon ventre me troublais, me faisant ressentir encore plus le feu dans mes entrailles. L'excitation étais a sont comble. Ses main se promenant sur mon corps en me donnant des frissons de plaisir s'arrêtaient sur mes hanches. Sa bouche attirante, insistante sur les miennes. Je sentais le désir a chacune de mes respiration, tel un nouveau souffle de vie. Et s'étais surement le cas. Je revivais. Je me découvrais. Je me découvrais vraiment. Enfin.

Je m'accrocha a lui. Je ne pouvais le perdre a nouveau. Le quitté en sachant que je devais l'oublier m'étais maintenant impossible. Je ne l'aimais plus. Je l'adorais, littéralement. Mes joue étais rouge alors que mes mains parcourais a leur tour le corps d'Étienne, si impensablement parfait. Un frisson parcourue mon corps alors que je m'agrippais a lui, de peur qu'il ne me repousse. Mon corps, prit très confortablement, semblais presque demander ma permission. Je le laissa se défoulé, parce qu'il en avais autant besoin que moi.

Il allais se demander pourquoi je changeais d'idée. Pourquoi je revenais après être partie en courant cette même nuit. Je ne le savais pas moi même. Je vit l'heure et je sursauta. 2h30! Il étais 2h30! Incroyable! Je me leva, le faisant sortir de moi. Je me leva, faisais les même geste que la veille, mais un petit sourire cacher sur les lèvres. après être allez porté mon linge dans le dortoir des filles, je prit ma robe de chambre et sans la mettre je me dirigea vers la porte du dortoir des gars, un grand sourire sur les lèvres, je laissa ma robe tombé alors que je rentrais dans sont dortoir en courant. Je me jeta sur lui et je l'embrassa follement, incapable de lui résisté. Je riais alors que je parcourais sont corps de baisé fiévreux. Je roula avec lui sur le sol froid sans pour autant me faire mal. J'étais heureuse. Profondément.

En l'embrassant, je sentais couler sur ses joues des larmes... je ne sais pas exactetement quel genre de larmes, mais peu importe. J'aimais mieux ne pas me faire de fausse idée... peut-être que c'était simplement de bonheur aussi! M'enfin... Toujours cette même ardeur qui revenait faire surface, m'obligeant à cèder à mes pulsions, quelque peu sauvage, je constatais. Mes mains étaient toujours placé sur ses hanches, les caressant toujours, alors que ma respiration ne se calmait pas. Malheureusement... sans doute que je finirais pas hyperventiller... mais je m'en moquais! Ses mains parcourait le mien, me faisant frissoner de plus bel. Ma bouche se faisait presque pressente sur la sienne, ne voulant pas la laisser partir... non de non! Je ne voulais pas! C'était improbable!! Et là, me vint des images... et si elle faisait vraiment semblant de m'aimer? Et si... Non... C'était trop passioné pour que ce fut cela... Je ne pourrais pas m'imaginer me tromper sur ce point.

Je finis par promener moi aussi mes mains sur son corps, à elle... Ce corps qui, en ce moment, me ressemblais tellement car il était surcharger de la même passion dévorrante qui me consumais. Tout cela m'absorbait tellement que je ne me rendis pas compte de l'heure qu'il était. Quand je m'en apperçut, à cause qu'elle s'était de nouveau retiré, comme la veille, je restai estomaqué en voyant qu'il était plus de deux heures. 2 heures 30 en fait... étrange... Mais tout à fait possible! Pourtant, cette fois-ci, je ne me sentais pas du tout abandonné... Je me sens revigoré, parce que cette fois-ci, ça c'était passablement bien passé. Je l'avais vu ramasser ses affaires, sans pourtant voir son petit sourire... tant pis. J'étais resté là, alors qu'elle recourait vers le dortoir des garçons avec sa robe de chambre qu'elle laissa tombé au sol avant de me sauter littéralement dessus et de nous envoyer au sol, par je ne sais qu'elle moyen. Ses baisées fièvreux me rendait fou... fou d'elle! Je retournai m'emparer vigoureusementde sa bouche, ma respiration ne s'étant pas calmé du tout. Je restais accroché à elle... le temps des questions seraient plus tard. Là, maintenant en ce moment, l'amour perdurerait... pendant un bout de temps.

Je me contrefoutais de la vie autour de moi... de ce que les autres pourraient penser... je l'aimais, elle, et personne d'autre!! C'était ainsi... celui qui essaierait de lui mettre des bâtons dans les roues le regretterait amérement!

[Je sais... C'est merdique]

J'étais épuisé. Complètement. Alors je me blottit contre lui cessant de l'embrasser. J'étais bien dans ses bras. Mais pour la première fois depuis... hier, j'éprouva le besoin de parlé. D'entendre sa voie merveilleuse, de savoir ce qu'il pensais de moi, de la serpentard que j'avais été, que j'étais devenue. Le Étienne dans mes bras n'étais pas le même que celui que j'avais eu dans ses même bras hier, alors que le harem de mon prince nous observais. Ces fille n'avais pas sue conquérir le coeur de celui que j'aimais, celui qui s'étais donner a moi.

- Tu dois te posé tellement de question! soupirais-je. Sache que je t'aime et que contrairement a se que j'ai affirmé hier, je ne regrette absolument rien. sauf peut-être quand je suis partie de dans tes bras hier...

Je ne voulais pas qu'il pense que je m'étais donné a lui seulement pour... enfin. Je l'aimais. Me repensa a ma mère. Est-ce que je saurais un jour pourquoi elle m'avais rejeté depuis la tendre enfance, pourquoi seulement moi? Pourquoi mes frères et soeurs avais eu tout sont amour et pas moi. Je pensa a mon père. Si souvent absent et pourtant toujours aussi fidèle a ma mère. Étais-je une véritable serpentard ou seulement le produit d'une tonne de méchanceté depuis mon enfance? Je me savais serpentard. Parce que la seul autre maison dans lequel je pourrais maintenant allez serais Poufsouffle. Je serais fidèle a partir de maintenant. Fidèle a Étienne. Mais je restais serpentard. Je n'avais rien perdu de mon sens des responsabilité, de mes véritable valeur, de mon leadership. Je le savais. Je restais aussi rusé et maligne. Comme une véritable serpentard. Je déposa un baisé rapide mais passionné sur ses lèvres.

[Non, moi ses merdique XD]

Je commençais à manquer d'air... hyper-ventillation! Merde! Pourtant, ma respiration finit par se calmer, alors qu'elle se blottissait contre moi. Sa seule présence m'aidait à me calmer... Je la serrais contre moi, alors qu'elle semblait vouloir parler. J'eus un sourire en entendant sa voix. Je me rendis alors compte que je ne l'avais pas entendu depuis... que nous avions quitté le bal.

- Tu dois te posé tellement de question! soupirais-je. Sache que je t'aime et que contrairement a se que j'ai affirmé hier, je ne regrette absolument rien. sauf peut-être quand je suis partie de dans tes bras hier...

-Oui... en effet, je me pose plusieurs questions! Mais... Je peux très bien attendre... je suis patient, même si ça ne parait pas toujours...

J'eus un sourire amusé, en repensant à la réaction que pourrait avoir les autres en nous voyant ainsi enlacer, comme si rien d'autre ne nous entourait.

-Et pour hier soir... Ce n'est pas grave aussi!

Encore un sourire aux lèvres, je la laissai m'embrasser de nouveau, légé baisé, mais la passion même incarné. e fermai les yeux, sentant le contact de sa peau sur la mienne avec bonheur. Je l'aimais, elle m'aimait... nous nous aimions.

[J'ai pas beaucoup de temps, désolé]

Je frémis de plaisir en entendant sont ténor envoutant. Je joua doucement dans ses cheveux, heureuse.

-Oui... en effet, je me pose plusieurs questions! Mais... Je peux très bien attendre... je suis patient, même si ça ne parait pas toujours...

- Je vais t'expliquer... Mais pas maintenant.

Je vit le sourire sur le visage d'Étienne. Et étrangement je pensais comme lui. Je voyais les serpentard de 7e rentré dans le dortoir et nous voir, nue comme des vers, dans les bras l'un de l'autre.

-Et pour hier soir... Ce n'est pas grave aussi!

- Je me sens tout de même coupable de t'avoir abandonné. Mais je te jure que je ne t'abandonnerais plus!

Non, plus jamais. Sous cette pensé rassurante, j'alla tranquillement mettre mon pyjama dans le dortoir des fille. montant dans la salle commune et descendant dans le dortoir des gars, je retourna dans les bras d'Étienne. Je l'embrassa doucement, d'un amour inconditionnel et infinie. Mais j'entendit la malheureuse voie du directeur de serpentard. Le dortoir ouvrais dans 5 minutes? Impossible! Je chuchota a Étienne qu'il devrais se mettre quelque chose et je me dépêcha a allez m'assoir sur le lit de celui que j'aimais. Heureusement que les filles pouvais allez dans le dortoir des gars!!!

J'acquiesçai, alors qu'elle me disait qu'elle m'expliquerait, plus tard. en fait, je n'étais pas pressé, alors... autant attendre! Je gardais mon sourire amusé, alors que de nouveau, retentissait la voix du directeur de Serpentard. Yeux plissé, je me relevai au moment même ou Shanelle allait mettre son pijama et j'attendis, comme un idiot, qu'elle revienne. Quand cela fut fait, je la regardai un moment, alors qu'elle me dit quoi faire... m'habiller? Ah! oui... J'oubliais presque dans quel genre de situation j'étais...

Me levant, je pris des vêtements dans mes valises et les enfilai. Certes, ce n'étaitpas le top du top... mais ça ferait l'affaire! Une fois tout mis, je m'assis sur mon lit, prit celle que j'aimais dans mes bras et mis ma tête dans son cou, respirant l'odeur de ses cheveux. Je déposai un baisé sur sa nuque et relevai la tête pour planter mes yeux dans les siens, puis allai doucement l'embrasser.

-Je m'étonne moi-même, parfois!

Je rigolai légèrement, puis enchainai:

-Si j'aurais sû qu'un jour, j'aurais aimé à tel point... je ne l'aurais pas crut!

Je le regarda s'habillé, amusé. Le regardé ne me gênais pas vraiment. Pas du tout, pour tout dire. Puis, je me poussa un peux pour qu'il puisse s'assoir sur le lit. Je le laissa me prendre dans ses bras, frémissant de plaisir quand il mit sa tête dans mon coup. L'amour que je ressentais pour lui m'effrayais mais je ne pouvais espéré mieux que d'être avec lui. Je l'aimais. Sans aucun doute possible. Il déposa un baisé sur ma tête et je sourit bêtement. Je planta moi aussi mon regard dans le sien. J'approfondis le baisé qu'il me donna, emmêlant ma langue avec la sienne. Il me lâcha et j'eu un sourire étonnamment gêné.

-Je m'étonne moi-même, parfois!

Je ne fit que fermé les yeux, trop heureuse pour que cela sois possible. Des bruit de pas commençais a se rapproché alors qu'Étienne ajoutais quelque chose.

-Si j'aurais su qu'un jour, j'aurais aimé à tel point... je ne l'aurais pas crut!

- Moi aussi. Si un jour on m'aurais dit que j'allais avoir de quelqu'un pour vivre, je ne l'aurais pas crue. Pourtant, je sais que je ne peux pas me passé de toi, mon beau Étienne.

Et qui aurais dit que j'allais de petit nom a un gars non pas pour le faire craqué mais simplement parce que je l'aimais? surement pas moi! Tout a coup, je vit des gars entré dans le dortoir. Je les regarda s'arrêté en me voyant dans les bras d'Étienne. Je m'imaginais a leur place. Shanelle Rose dans les bras d'Étienne Forking, se faisant des yeux doux dans le lit de se dernier. Je sourit a Étienne et je me retourna vers les gars qui nous regardais étrangement, regard figer sur nous. Je leurs dit quelque mot mais ma voie me fit peur. douce, changer. Alors qu'avant chaque syllabe semblais craché de ma bouche comme une insulté, maintenant chaque phrase ressemblais a un poème proclament mon amour pour lui.

- Ses si étonnant que sa?

Tout de suite après avoir dit cette question, je sue que j'avais la réponse. Oui, s'étais aussi étonnant que sa. Pourtant, sans plus m'occupé des regard posé sur l'étrange couple que nous formions, j'embrassa Étienne. D'abord avec récitante, a cause des regards. Puis je fini par les oublier et je me concentra uniquement sur cet apollon. J'entrouvris ma bouche, caressant sa langue avec douceur et passion. Alors un gars, inconscient de la magie du moment, dit quelque mot avant de détourné le regard, gêné par mon air fâcher.

- Ben oui, ses surprenant.

Je restai un bout de temps ainsi, enlacé à elle, alors que des bruits de pas commençait à résonner en bas, montant vers les dortoirs. J'avais souris à ce petit surnom qu'elle m'avait donné et je ne put m'empêcher de resserer légèrement mon étreinte. L'amour était parfois si étrange... elle vous tombait dessus, tel une maladie... mais n'était pas mortel. Tel un cancer, il ne vous lâchait plus, restait là... aimer et être aimé. Oui... J'adorais ça! Je pouvais enfin laisser mon moi interrieur ressentir sans avoir besoin de le cacher à tout bout de champ. Parfois, ça en devenait lassant... M'enfin. Maintenant, je me sentais bien. Peu importe si on me voyait en compagnie de cette que j'aimais! Je l'aimais, point final! Aimer moi, ne m'aimez pas... je m'en moque éperduement! Je suis ce que je suis, et rien n'y changera jamais rien... si j'avais montré cette facade, avant... C'était sans doute pour mieu me faire accepter... ou simplement me courrait-on après parce que les filles aimaient les gars froid et innacessible? Les filles m'étonneraient toujours!

Je regardai légèrement les gars qui étaient maintenant monté dans le dortoir, chacun nous dévisageant. Mon regard, habituellement froid et peu accueillant, avant, je le savais naturellement, changé. Comment? Je ne le savais pas... Habituellement, je plantais mon regard dans celui d'un autre pour qu'il détourne les yeux, et là, il continuait de nous fixer... C'était si étonnant que ça? Pourtant, je ne fut pas obliger de parler que Shanelle répliquait quelque chose. Avec un légé sourire amusé, je m'ouvrit au baisé que celle que j'aimais alla prendre sur mes lèvres, sentant sa réticence. Aussi, je ne la pressai pas, pour qu'elle ne pense pas que je la brusque, puis lorsqu'elle se montra un peu plus insistante, je fis de même, savourant ce moment, même si je savais des regard braqué sur nous. Hors d'haleine, je me décollai légèrement et regardai les gars avec un légé sourire. Pas narquois pour une fois:

-Vous savez... C'est fou comme je me sens bien en ce moment!

Je retournai embrasser Shanelle, sans me soucier de ce qu'il pourrait répliquer... déjà, je n'entendais plus rien. Seulement cette passion qui me criait d'aimer et de continuer de l'embrasser, de lui démontrer tout mon amour.

[je répond demain, j'ai pas le temps se soir ^^]

[Ok, no problemo]

Les gars, après la remarque d'Étienne, partirent lentement, nous regardant d'un drôle de regard, a la fois amusé et colérique. Peux t'être même jaloux, qui sais! Étienne m'embrassa et je ne me soucia plus de rien. Le dortoir étais vide, tout le monde étais partie soupé. Mais omi, la faim ne me prennais pas encore le ventre. Je s'avais que soif. Soif de lui. Je l'embrassa moins timidement, plus ouvertement, folle de lui, de sont corps, de ce qu'il étais. Je me secoua la tête. Je devais pensé a d'autre chose... Mais seul le plaisir ardent dévorant tout mon corps restais dans ma tête. S'étais plus qu'un simple désir. S'étais un besoin. Ardent. A en perdre la tête. Espérant qu'il comprendre le sous entendus, je dit quelque mots, hésitant entre le coeur et la raison, sans savoir qui demandais quoi.

-Tu... en as envi? soufflais-je

Je retourna l'embrasser. Mon ange et mon diable se battais. "Dit oui!" "dit non!" "dit oui!" "dit non!". Mais le problème, ses que je n'étais pas capable de différencier l'ange du diable. Je ne savais même pas ce que je voulais, en se moment. Je me colla contre lui, passant mes bras autour de sont corps. Je passa mes main sous sont jean. Ses bien sa qu'il portais, non? J'alla dans sa culotte, passent sur ses fesses, le saisissant enfin. Je passa mon doigt sur le bout, serrant le reste avec ma main. Je savais, pour l'avoir tester sur d'autre, que cela avais un effet... dévastateur sur tout les gars, sans exception.

Le fait que le dortoir soit vide ne s'imissa pas dans mon esprit immédiatement. Pour moi, il n'y avait que Shanelle, et même si nous étions près du pire mage noir de tout les temps, se serait pareil! Sans doute étais-ce ce que le différenciait des autre mage... Il aimait et était capable, plus que tout, d'aimer. Être aimé, aussi. Même si la fin du monde serait près, je m'en moquerais... je continuerais de rester et de serrer celle que j'aimais contre moi, pour la protégé des pire cataclysme. Je finis par remarquer l'absence des gars, et j'entendis ce qu'elle me demanda, en plus de son sous-entendu. Un nouveau sourire apparut sur mes lèvres, et je ne prononcai aucun mot. En fait... J'émis un simple "mmh..." alors qu'elle retournait m'embrasser. Sans doute qu'elle pensait à quelque chose, mais sans le savoir, mes pensées se rapprochèrent des siennes. L'amour changeait une personne... totalement! N'en étais-je pas la preuve vivante? M'enfin... il devait y en avoir plein d'autre comme moi... Mais il ne voyait pas la chance qui s'offrait à eux, hélas. Alors, il ne pouvait pas en profiter. Elle se colla contre moi, passant ses bras autour de mon cou et je fis de même avec sa taille, l'enlaçant avec tendresse et tout l'amour dont je pouvais faire preuve. Une main se faufilla dans mon jeans et j'hochai un sourcil intrigué, sans arrêter de l'embrasser pour autant. Un frisson me prit soudainement, ce qui me rendis sans doute plus passionné encore et qui accentua mes baisés, qui se firent plus ardent. Tout le monde étant partie souper... ça laissait un peu de temps de libre! Heureux, je passai mes bras sous le chandail de la Serpentard, allant caresser son dos de mes pouces, pour ensuite un peu plus descendre vers ses hanches, les caressant aussi. J'avais un sourire aux lèvres, amusé et amoureux. Ceux qui m'aurait vu en ce moment ne m'aurait sans doute pas reconnu... et étrangement, ce qui m'étonnait le plus... je contrôlais mes pouvoirs de change-forme!

Je perçue sont frisson avec un plaisir évident. J'eu moi même un frisson en sentant ses mains sur mes hanches. Je l'embrassa encore et encore, collé contre celui que j'aimais. J'avais mal au lèvres, mais se n'étais rien en fonction de tout se que je pouvais ressentir. Je me coucha sur lui, mettant mes bras dans sont dos. Naturellement, il n'avait pas de chandail. Je descendit dans son coup, traçais le contour de ses muscles avec ma langue. Je perçue le changement de forme d'Étienne mais je ne m'en soucia pas. Étienne étais un métamorphomage et je le savais. Je continua a l'embrasser, coucher sur lui. Alors je me redressa, m'assistant sur sont entre-jambes. Bien qu'il ai des jean, j'étais sur qu'il ressentait quelque chose. Je mit tout mon poids et fit un petit va et viens, me remplissant de désir. *Étienne... prend moi, répond au besoin de mon corps...* pensais-je. Après un petit instant, je me rendit compte que je les avais dit a voie autre. Mes joue s'empourpraient de gêne. Pour cacher mon malaise face a ses mots, j'accéléra le mouvement et je me baissa pour l'embrasser avec passion. Mais que m'arrivais t'il? Je n'avais jamais eu autant le gout de sentir un homme en moi. Jamais le désir que je ressentais n'avais été aussi fort. Je prit une décision. Je me coucha a coté de lui, le frôlant a peine. Si il avait le gout, il allais venir a moi. Sinon, il allais resté la. Ce n'étais pas si grave puisqu'il nous restais pas beaucoup de temps. Mais je savais que j'allais pouvoir m'arrêter attend si quelqu'un arrivais. Ou au moins réagir avec un sort.

Je me sentais prisonnier. Prisonnier de ma propre passion, de ma propre rage d'elle. Mes pensées étaient, encore une fois, focalisé sur elle... et je ne pouvais les détourner. Même mon regard ne la lâchait pas, même si je devais parfois fermer les yeux pour ne pas perdre le contrôle de mon métamorphage. Mais jusqu'à présent, je m'en sortais quand même assez bien... pour l'instant! Lorsqu'elle s'assit sur moi, à mon point sensible, j'étoufai un lègé gémissement alors qu'elle entamait son va et vien. Là, mon contrôle était rudement mit à l'épreuve... pourtant, ça ne parut pas trop. Mes mains s'étaient légèrement crispé, alors que mon souffle se faisait heurté. J'avais peine à contenir se flot de désir qui émanait de moi. Il me semblait que plus rien d'existait... seul cette boule au fond de moi, Shanelle, et moi-même existions. Ma foi... comment un homme pouvait-il ressentir tant d'émotion en même temps?! C'était impossible! J'allais... explosé! J'avais entendu ce qu'elle avait dit, et cela ne fit qu'attisé le monstre, le brûlant et le déchainant. Mon coeur battait à en exploser, et j'avais de la difficulté à le calmer. D'ailleurs, le mouvement de Shanelle n'étant en rien pour m'aider. Je soufflai, la respiration toujours aussi saccadé, alors qu'elle avait finit par venir m'embrasser avec passion... je lui rendis la pareil.

Au bout d'un moment, elle tomba sur le côté, et la regardant faire, je me redressai, mes pulsions étant plus forte que ma raison. D'un geste plutôt rapide, je me débarassai de mes jeans et tentai, après avoir plaqué celle que j'aimais sur le lit, de lui retirer, elle aussi, ses vêtements, ce qui fut plus ardu, étant donné qu'elle était couché et que ses membres entravaient les bouts de tissus. Cette fois... ça y ait... J'allais exploser! Je retournai attaquer sa bouche de baisé ardent, malgré que je commençais à avoir des crampes à force de l'embrasser... mais je m'en moquais! Avec un sourire, je l'embrassais toujours, alors que mes mains parcouraient son corps, de haut et en bas, sans que, cette fois-ci, j'aie de la gêne... peut-être qu'après, je trouverais mon comportement étrange... mais là, l'exitation était à son comble. Je ne savais pas si je me montrais brusque, même si j'essayais de me montrer doux et tendre... je ne savais pas exactement ce que je faisais, même si je ressentais tout. Une de mes mains se posa derrière la tête de Shanelle, la soulevant légèrement, partant à l'assaut de cette bouche merveilleuse, lui donnant sans cesse de langoureux baisé...

J'eus un frisson de plaisir. Je venais à peine de me décollé de lui que je le vis enlever précipitamment son jean. Je tremblais d'impatience. Je ferma les yeux pour asseyez de me contrôlé, pour ne pas lui sauté dessus. J'essaya de l'aider alors q2u'il enlevait mon pyjama mais s'étais difficile, étant plaquer sur le lit. Je sentis sa bouche venir caresser la mienne avec ardeur et passion, alors que je lui rendais la pareil. Sans cesser de l'embrasser, je planta mes ongles dans sont dos alors que ses main se promenais sur mon corps. Chaque millimètre frôlé me mettait en feu. Ma bouche se fit plus pressante alors que mes main copiais ses mouvements.

Je ne pouvais plus attendre de le sentir en moi. Je le voulais. Trop. Je me plaça-t’en et bien que mal et je le fit entrer en moi. J'étouffa un cri alors que je forçais Étienne a mettre tout sont poids sur moi. Mon corps était très difficile a contrôlé. Puis, je déposa un dernier baisé... contrôlé et je laissa la vague de bonheur intense m'envahir. Je donna des coups de reins qui me faisaient délirer. Je criais, pleurais, riais, gémissais. S'étais comme deux flammes qui, s'étant rencontré, étais devenus plus fort, plus grandiose, tel un feu de foret. Je l'embrassais avec passion, avec une force inconnue que j'ignorais avoir. J'ouvrit mes jambes en mettant mes main sur ses fesses. Les coups de reins se faisaient plus fort de cette manière et me faisaient complètement délirer. J’avais sûrement l'air d'une folle en ce moment, criant, riant, pleurant, gémissant.

Je n'entendit pas les pas précipités d'élève rentrant de soupé. Je n'entendit pas les bruits de pas montant dans les escaliers. Je n'entendais pas les voies qui auraient du me parvenir. Avoir cru possible de s'arrêter attend étais une grossière erreur. Une erreur parce que je n'entendit pas les gars rentrés en riant dans le dortoir, plus se tourné vers nous et ouvrir des yeux surprit en voyant Étienne allongé sur moi en train de faire l'amour sans aucune gêne. Je ne vis même pas les plus intelligents sortir du dortoir en riant, les plus vicieux restant. A se moment la, si j'aurais eu pleinement conscience de mes acte, je n'aurais pas tarder a les chassé. Mais complètement hors de contrôle, je ne remarquais pas ses pervers de gars qui fantasmaient. Dans ma tête, s'étais le plus beau Noël de toute ma vie. Je criais. Sans jamais me rendre compte que nous n'étions plus seuls. J'ouvrit les yeux tellement grand que l'impression que les yeux sortaient de leur orbite prit un sens. Je l'avais atteint. Tellement bon, tellement puissant, tellement incomparable, indescriptible! Cette vague résumé en un mot qui prenaient tout son sens tout d'un coup. Il n'y avait qu'Étienne pour me le faire ressentir, pour que la vague qui me donnaient une force surhumaine ne sois pas déjà partie. L'orgasme.

J'étais concentré sur elle, sur mes sentiments, tout ce que je ressentais. Je ne sentais pas ses ongles dans ma peau, mais sans doute les sentirais-je plus tard. Ma bouche attaquait toujours la sienne, la goûtant avec suplice, comme si j'en avais de besoin ou j'allais en mourir. Ce n'était qu'une sensation, brûlante certes... mais juste... une façon de penser et d'agir. Je la sentis se démener tant bien que mal pour que je puisse rentrer en elle, ce qui rajouta au feu brûlant qui me consumait, de l'oxygène... oui! De l'oxygène! J'en avais de besoin... là maintenant! Je suffoquait! non... bah... pas vraiment... mais ma respiration était tellement saccadé que j'avais l'impression d'étouffer. Pourtant, la flamme ne consumait pas seulement d'oxygène, dans ce cas ci... elle se nourrissait de l'amour, de la passion et de l'exitation que je ressentais.

Les coups de reins de Shanelle ne m'aidait en rien à contrôler les impulsions de mon corps. Je n'en pouvais plus... J'allais explosé et ont allait me retrouver en mille morceau éparpillé au sol! Bon... peut-être que j'exagérais un tout petit peu... m'enfin. J'étais encore trop absorber pour entendre les voix qui parvenait de la salle commune. Déjà, les élèves revenaient de souper... hélas... je ne réagis pas. Pourtant, une alarme s'était allumé dans ma tête. Je ne lui portai pas attention, et poussai une plainte, alors que je sentais toujours et encore son mouvement. Mon corps répondait de la meilleure façon qu'il fallait, du moins, il essayait. J'étais un spectateur... et je ne pouvais que sentir les frissons et la passion que je ressentais. Je ne voyais pas les gars qui maintenant nous observait. Je ne faisais que sentir les mouvements de celle que j'aimais, sous moi, elle qui semblait avoir atteint le plus haut point d'exitation qu'elle ne pourrait jamais atteindre. J'étais en train de crouler sous le poid de la flamme brûlante. Elle me dévorait tout entière. Le fait de la savoir ainsi, de savoir que tout cela lui plaisait me rendait... horriblement... heureux...! Je savais que ma vie ne valait pas la peine d'être vécu si je ne pouvais pas être avec elle.

Sans doute que si j'aurais sût qu'il y avait des spectateurs à notre débat... qui n'était plus tout à fait intime, que j'aurais agis autrement. Pourtant, je faisais toujours le fou en lui faisant follement l'amour. Peu m'importait tant qu'elle était avec moi. Avoir eux ma baguette et tout mes moyens, il serait aller au diable... Bah... au moins, pour l'instant, j'étais partiellement inconscient de leur présence... J'étais ainsi. Inconscient réellement de mes actes... peu importait les conséquences quand on aimait à la folie une fille que l'on croyait être son âme soeur... j'en étais sûr. Sinon, il n'y aurait pas cette étrange connexsion entre elle et moi... Étais-ce un pêché, tout ça? Est-ce que ça pourrait être punis... comme d'être bannis de l'école? Si quelqu'un venait à l'apprendre... M'enfin... nous ne devions pas être les seuls à agir en fou, ainsi!... Non? Je l'espérais!

Ma respiration sacaddé commençait à se calmer, et c'est pourtant seulement là que je me rendis compte que nous n'étions plus seul. Sans pour autant me détourner de Shanelle, j'eus un froncement de sourcil et hochai les épaules. S'il se trouvait toujours là, je n'aurais qu'à leur faire subir un sors de l'ouble... Ce n'était pas si terrible, et ce ne serait pas une si grosse perte!

[J'aimerais mieux la bannière si elle ne déformerais pas le forum! Mais je la trouve super lol]

Je me sentais affreusement bien. Comme celui d'Étienne, ma respiration se calma. A peine quelque seconde plus tard, mon plaisir fondu a sont tour, laissa place a un bonheur intense. s'étais un Noël digne d'un compte de fée, de ceux des plus beau roman d'amour. Je déposa un ultime baisé sur les lèvres d'Étienne. Mais je perçue le changement d'attitude. Je me figea. Complètement. Je poussa un petit grognement en m'agrippant a celui que j'aimais, venant de remarquer nos spectateurs. Je n'avais jamais eu honte de mon corps, bien au contraire. Mais il n'étais pas question de les laisser profité de mon corps pour leur seule plaisir. Je voulue agrippé ma baguette mais je me souvint que je l'avais laisser dans ma malle au pied de mon lit. J'abandonna tout effort.

Je retourna embrassé Étienne. D'abord pour me consolé. Mais mes baisés se firent de plus en plus pressant, de plus en plus exigent. Ce n'étais plus un désir, s'étais un besoin, comme de manger ou de boire, comme de bougé et dormir. J'agrippa mon beau Étienne, mes bras repassant dans sont dos, mes jambes autours de ses hanche. Puisqu'il étais toujours en moi, se dernier geste m'arracha un cri plaintif. Je me maudit de ne pas l'avoir étouffé, des idiots regardant toujours sa scène.

[Désolé, manque d'inspiration --']

Je sentis mes muscles se contracter légèrement, prêt à agir. Pourtant, l'envie de meurtre que je ressentais s'assoupit lorsque je me rendis compte que Shanelle ne réagissait pas. Je n'avais pas nécessairement de pudeur, n'empêchait... des gars qui me voyait ainsi avait de quoi me mettre hors de moi. Pourtant, la même vague faisait rage en moi... apparemment, elle ne s'était pas totalement apaisé... j'attendis donc qu'elle se dissipe... il ne servait à rien de vouloir la combattre puisque j'en avais envie et de besoin à la fois... Ma conscience me criait d'arrêter, de donner une bonne raclé à ses pervers qui nous regardait encore... pourtant, mes pulsions me le déconseillait. Elle me disait d'aller plus loin... toujours plus loin, et ont se moquait du reste... mais la raison et les désirs, c'était deux choses différentes.

Lorsque j'entendis son cris, ma bouche était toujours collé à la sienne, et elle passa ses jambes autours de mes hanches. J'avais un légé sourire... sans vraiment avoir de raison pour sourire... m'enfin... J'étais si bien... me fallait-il une raison pour être heureux? Bah... ouais, sans doute, si je l'étais... sentant mon esprit vagabondé, je le ramenai à la réalité, mes muscles se détendant légèrement, même si je pouvais sentir l'éclat rouge de colère et que prenait mes cheveux. Peut-être que les autres allaient le remarquer... mais quel importance, de toute façon? J'eus un soupire qui m'échapa, de bonheur... peut-être un semblant de râle, je ne savais pas... Pourtant... Je me sentais tout à fait bien... je n'avais plus peur de ses émotions, maintenant... elle faisait partie de moi, et je les acceptais avec... gratitude. Je rouvris les yeux, regardant le beau visage de la Serpentard à mes côtés, sous moi, puis allai attaquer de plus belle sa bouche, mes mains sur le côté, ses hanches, en fait. Une de mes mains se glissa sur ses cuisses, qui m'enserrait la taille, en quelque sorte, et je descendis jusqu'en bas, jusqu'à ses fesses, pour laisser ma main là. L'autre main n'avait pas bougé. Elle restait sagement là... à attendre.

J'accueillis les baisers de celui que j'aimais avec un très grand plaisir. Je prenais effectivement plaisir a ses baisers dont je me tannerais sûrement jamais. Je le laissa faire alors qu'il plaçait sa main sur ma fesse. Je ne voyais pas le mouvement des gars qui, ayant remarquez que nous les avions remarqués, s'éclipsaient doucement. Je voulais les oublier et j'étais en train de réussir, ne sentant plus leurs regards posés sur nos corps entre mêler. Je serra soudainement mon emprise sur lui. Mes jambes serraient ses hanches, me faisant gémir. Je me replaça quelque peux, donnant des petits coups de rein qui me faisaient frémir.

Mon épuisement, mon besoin de faire souffrir les gars qui nous avaient vus ayant disparu. Ce besoin avait été remplacer par un autre, un autre que je ne me tannerais pas de ressentir. Je le laissa me parcourir, heureuse. Je laissa mes mains parcourir sont corps, s'arrêtant sur ces joues. Je l'immobilisa, fermant doucement ses yeux avec mes pouces. Je parcourue chaque centimètre de sont visage de léger baiser. Je m'arrêta quelque seconde pour reprendre mon souffle. Puis, je plongea vers ses lèvres si invitante et je sentie que mon amour pour lui resurgissais. Mon besoin changea, mon amour l'emporta. Je voulais lui faire plaisir. Nous étions déplacer. Il passerait désormais avant tout, ces désirs seront des ordres auquel je me ferais un plaisir certain a accomplir. Je découvrais l'amour, tout le bonheur que ce sentiment impliquais, tout les sacrifices aussi. Je le renversa, lui se retrouvant sous moi. Je lui fit donc l'amour, doucement avec une passion et une douceur incomparable. J’avais de la difficulté a contrôler mes pulsions.

-Je t'aime. Plus que tout. Dit-je avec émotions.

Pour m'empêcher de pleurer, j'alla l'embrasser. Mais les larmes vinrent quand même prendre une place sur mes joues. Je pleurais. Ge n'Étais pas malheureuse. Pas heureuse non plus. Plutôt dans une sorte de crise qui laissais sortir se qui restais de mauvais en moi. Pourquoi les serpentard étais si méchants, si prétentieux? Mais maintenant, tout cela n'avais plus d'importance. Fermant les yeux, les réouvrent, J'adressa quelque mot a celui qui changeais ma vie en mieux a chaque seconde passé avec moi.

- Merci. Maintenant, je peux t'expliquer.

Ma colère était tout dississiper, maintenant, aussi, je ne pus pas remarquer que les gars qui nous observaient partait peu à peu. Mais ce n'était pas si grave... je savais à peu près qui ils étaient. Leurs visages, du moins... Mais en ce moment, cela m'importait peu... Son gémissement et son frémissement me fit sourire, alors que je faisais toujours sa bouche prisonnière de la mienne. Quand finalement, elle laissa elle aussi ses mains parcourirent mon corps, je frissonai. Elle s'arrêta sur mes joues et me ferma les yeux pour ensuite venir parcourir ce visage qui avait tant changé en quelques heures, de légé baisé. Elle s'arrêta. J'en profitai pour reprendre mon souffle, mais déjà, elle revenait à l'assaut, mais je gardai les yeux fermés, savourant ce moment qui ne pourrait êut-être plus arriver de nouveau très bientôt... Puis, sans savoir... comment, de nouveau, je me trouvai renversé, sous elle, maintenant. Mais la position m'importait peu. Tout ce qui m'importait s'était d'être avec elle, de la sentir mon égal et de la rendre, par je ne sais qu'elle moyen, heureuse. Je comptais bien faire ça... même si je devrais enterrer moi aussi mes vieux fantômes... mais cela, j'en serais capable. Je le savais!

Elle parla, et je ne pus lui renvoyer la pareil, alors qu'elle revenait m'embrasser. Je ne voulais pas me reculer pour parler, de toute façon. J'étais plaqué sous elle, comme elle, elle avait, il y a quelque minutes encore, été plaqué sous moi. Je sentis ses larmes me tomber sur le visage, mais je ne m'en inquiètai pas trop... ce ne devais pas être important, sinon, elle serait partie... J'eus un légé soupire, alors que de nouveau, elle parlait, et je l'écoutai. M'expliquer quoi? AH! oui... ça...N'empêche, je pouvais attendre... je lui laisserais donc le temps... pour être sûr qu'elle ne disait pas ça sur un coup de tête.

-Tu peux le dire... comme tu peux me le dire plus tard, aussi... rien ne presse vraiment.

-Tu peux le dire... comme tu peux me le dire plus tard, aussi... rien ne presse vraiment.

Je le savais. Mais je lui devais cela. Cela allais être difficile. En plusieurs sens. Mais ma position n'étais pas apte a la discutions. Je sourit. Ma position étais en fait, faite pour que j'ai du plaisir, pas pour discuté. Je le fit se retirer, pinçant les lèvres et fermant les yeux au cas ou un gémissement aurais voulue sortir. Je serra les dents, sentais le mouvement en moi. Je recula doucement. Puis, je me coucha a ses coté. Je le regarda dans les yeux. Je me pencha sr lui sans pouvoir résisté. Je l'embrassa doucement. Mais encore une fois, je m'emporta. Sa bouche étais sublime, magnifique, incroyablement douce. Impossible d'y résisté. Ma main droit saisie ses cheveux a la base de sa nuque et mon autre main passa autour de ses épaules. Je mêla ma langue a la sienne, incapable de m'arrêter. Mais je manqua de souffle. Je sourit contre ses lèvres en me rapellant de se que je voulais dire.

- Désolé de m'être emporté. Tout cela... est dur pour moi. Mais je vais asseyez. Pour toi. "Mon histoire commence dès que je suis née. Mon père, qui travaillais a l'étranger, n'étais pas souvent la. Ma mère étais femme au foyer. Tout de suite, elle m'a détesté. Étant l'aîné, je ne l'ai partout de suite remarquer. Sais quand les autre sont arrivé que je l'ai vraiment sue. Une fois, j'ai fait une fugue. La seule chose qu'elle a dit quand un vieil homme m'a ramener, ces que j'avais pas fait ma corvée de vaisselle. Je m'en souviens comme si sa venais juste de se passé. Sa ma détruite. Et quand je t'ai embrassé la première fois, j'ai craqué au flot d'émotions que j'ai ressentie. Même chose quand je me suis enfui au milieux de la nuits. Je t'aime Étienne. Et cette seule pensés me fait peur. Parce que je n'ai jamais connue sa. Je me suis déjà sentis désiré, détesté, mais jamais aimé. Tu vois, ses dur. Mais je suis prête a laisser sa de coté. Pour toi. Parce que je t'aime. Plus que personne, car tu est la seule personne que j'ai jamais aimé.

Encore des larmes. Mais je continuais de le regardez dans les yeux. Il savait maintenant. Et je ne voulais plus rien lui cacher. Jamais.

Je serrai les lèvres quand elle se recula, un lègé sourire les étirant. Elle allait le dire... pourquoi elle avait agit ainsi. Pourtant, je n'arrivais pas à me dire ce qui pouvait être si pire pour qu'on puisse... ne pas vouloir le dire ou partir en sanglottant. Mais au moins... j'allais le savoir, c'était déjà ça! Maintenant, elle était couché à mes côtés, mais ne le resta pas lontemps. Elle alla m'embrasser si... imprésiblement que j'en perdis le souffle, sans pour autant que je ne lui rende pas ses baisés. Pourtant, je me reculai, lorsqu'elle fit de même et commença à parler. Alors là, je commençai à l'écouter attentivement. Je n'avais donc pas été le seul à avoir une enfance... peu recommendable pour un enfant... bien que je me sois légèrement vengé de mes parents... à cette époque, je vivais de vengeance et de souffrance. Je ne savais pas ce qu'étais l'amour et je venais de le découvrir. En fait... mon sentiment avait commencé à se manifester le jour ou je lui avais demander de venir au bal avec moi. Au début, je croyais que c'était passager, mais j'avais finis... -la veille, en fait- déccouvert que je l'aimais vraiment. Ça me faisait étrange. Première relation réelle et sérieuse...

Mes yeux toujours planté dans les siens, je me rapprochai un peu et déposai un baisé sur son nez, puis me reculai lentement. J'avais un sourire espiègle aux lèvres et je regardai vers la porte du dortoir, ou je voyais des ombres provenant du bas. Le bruit des conversations me provenais et j'eus une pensé pour ceux qui avait vu... nos ébats. M'enfin... Ça ne me faisait plus rien... même que maintenant, mes cheveux avaient reprit leur teinte noir naturel et avait perdu leur éclat rouge. Maintenant, je me questionnais. Comment allait réagir les filles de mon harem, s'il était toujours lieu de dire cela, en sachant que j'avais une relation avec Shanelle? Et qu'il y avait eut des témoins?

Parce que je l'aime. Parce qu'il est ma vie maintenant. Je frémis en réalisant combien je l'aimais. Je frémis encore en pensant que je l'avais déjà réalisé. Plus de 1000 fois. Depuis hier. Je souris. Qu'elle geste simple qui me faisais sourire. Un léger baisé sur mon nez. J'essuya mes larmes. Je me décolla avec un soupçons de regret pour me mettre en pyjama. Je prit sont jean et son boxer et je lui mit. Je rembarqua sur le lit et me blottie contre celui que j'aimais. Mon beau Étienne dont les cheveux étais redevenue normal. Toujours aussi beau.

Je passa mes mains autour de sont torse et je l'attira vers moi. Je prit ses lèvres entre les miennes pour l'embrasser doucement. Je me contrôlais pour ne pas perdre le contrôle. J'étais profondément heureuse. Commençant a avoir froid dans mon petit ensemble de satin, Je prit les couverture et les plaça sur nous. Les gars recommençais a monté dans le dortoir. Mais vue la pauvre lumière que donnais la lune, je ne fut pas certaine s'ils me vue. Je pensa a quelque chose. Nous étions le lendemain de Noël. J'avais reçue le plus beau cadeau du monde. Étienne et sont amour pour moi. Nous avions complètement changé. Je comprenais mieux le diction "L'amour donne des ailes". J'avais toujours pensé que l'amour étais une prison. Je savais maintenant que j'avais tout faut. Je retourna embrassé Étienne. Le bruit de nos lèvres étais caché par le ronflement des gars. Alors je caressa sa langue de la mienne sans prétention. Juste de l'amour. Ce choix d'une vie. Étais-ce cela, un âme soeur? personne ne pouvais savoir si cela existais vraiment. Personne ne pouvais définir l'âme soeur. Peut-être étais-ce vrai. peut-être étais-ce lui. Certaine personne ne le découvre jamais. Moi, a peine adulte, avais-je découvert le mien? En reprenant ma respiration, je dit deux mots. Simple, si souvent dit. Je t'aime, allez vous dire. Ses plutôt...

- Joyeux Noël...

Je la regardai faire… Essayer ses larmes et débarquer du lit. Je ne bougeai pas, rester plutôt là, alors qu’elle mettait son pyjama et me rhabillais. Ça faisait drôle de dire cela… je n’avais jamais vraiment… put constater comment l’amour d’une femme pour sois était merveilleux. Je le découvrais maintenant… depuis la veille, je l’avais réalisé je ne sais combien de fois. Je ne pourrais pas m’en passer, dorénavant… Ça faisait partit de moi, ce sentiment… Shanelle faisait partie de se sentiment, et sans elle, il ne subsistait pas… Il ne pourrait pas vivre sans elle… comme un feu qui a besoin qu’on l’alimente… Elle rembarqua sur le lit et se colla contre moi. Je passai un bras autour de sa taille, alors qu’elle passait ses mains autour de mon torse et m’attirait à elle. Encore là, je me laissai faire et ne répliquai pas. Encore là, aucun mot. Sa bouche s’emparait déjà de la mienne, mais elle finit par tirer les couvertures… je devais avouer que j’avais froid, moi aussi… M’enfin.

La lune éclairait péniblement le dortoir et se fut sans doute de peut qu’on ne nous remarqua pas, ensemble sous les couvertures. Les gars montaient déjà, allant se coucher pour être bien réveillé le lendemain de noël. Le lendemain… ah! Nous étions donc noël… Eumh… étrange. Je n’avais même pas vu le temps passé et je n’avais même pas fin! De plus en plus… bizarre… ça faisait ça, l’amour? Ça nous faisait oublié nos besoins charnelles, ou quoi? Moi qui était un estomac sur deux pates, habituellement… bref. Mes lèvres étaient toujours sur celle de Shanelle, l’embrassant toujours. Les ronflements des gars nous enterrait et je trouvai cela… tombant à point. Peut-être que je pourrai utiliser la nuit pour leur faire oublier ce qu’ils avaient vu? Eumh… plan quelque peu… Machiavélique… mais ensuite, ils allaient finir par ne plus se rappeler de rien, si le sors tournait mal. Mais pourquoi pensais-je à cela, déjà? Ah! Euh… peu importe! Ma langue s’entremêlait à la sienne, pour la je ne sais combientième fois de la journée. Puis, elle dit, en reprenant sa respiration « joyeux Noël »… Je souris, en reprenant aussi ma respiration :

-Joyeux noël… et je t’aime!

Avec un soupire de bonheur, je fermai les yeux et le sommeil m’emporta, sans que je ne puisse y échapper, cette fois. Les bras de Morphée m’accueillir triomphalement… Est-ce que ma bien aimé allait me rejoindre dans mes rêves? Alors que tout cela était déjà un rêve bien réel? Mmh…

Je lui rendais ses baisés a mesure qu'il me rendais les miens. Je me sentais chaude. Je commençais a avoir mal au lèvres. Mais cela ne me faisais rien. Je mordilla sa lèvre inférieur en souriant. Je me collais contre lui. Nous étions Noël? Qu'elle date s'étais déroulé le bal. Le 24? Si oui nous étions vraiment Noël. Ces se que je croyais. M'enfin... Rien n'est moins sur. Étienne me dit quelque mots. Sur le coup, je ne comprit pas se qu'il voulais dire. Nos baisé me faisais oublier tout autre chose...

-Joyeux noël… et je t’aime!

Je sourit. Je caressa sa joue avec le dos de ma main. Il sombrait dans les ténèbres du rêve. Je me colla contre lui, accotant mon font contre le sien. Je déposa un petit baisé avant de sombré a mon tour dans un someil réparateur.

» Fin de la discussion..je mange(Shanelle et Étienne)
» Attention à vous les gars, Shanelle Rose est la!
» (suite pv Bella)
» [Suite PV Cedric]
» Suite pv Bella CS