Règle n°1 : Votre professeur d'Histoire de la magie a toujours raison (6ème & 7ème année)

Charlie balança son réveil à travers sa chambre et elle entendit avec une certaine satisfaction le craquement qu'il produisit en s'écrasant contre le mur. Si seulement elle pouvait faire la même chose avec les élèves ! Elle se leva en maugréant, se précipita sous la douche puis commença à choisir ses vêtements avec soin. Elle opta pour une jean's guess (pourquoi se priver quand on avait les moyens ?), artistiquement troué, un tee-shirt blanc col V avec le superbe logo D&G et un blouson en cuir, vieux comme merlin. Le tout était complèté par de magnifiques sandales à talons compensés de Marc Jacobs beiges. Elle se décida pour des cheveux courts couleur argentée, elle les aspergea de laque et prit son sac. Elle se maquilla légèrement puis partit vers sa salle, ses élèves n'étaient pas encore arrivés. Elle prit le thermos que les elfes déposaient chaque matin et se servit une tasse de thé. Ce serait ainsi tous les jours jusqu'à la fin de l'année. Aujourd'hui elle commençait avec les sixièmes et septièmes années. Ses cours préférés, car les anciens commençaient à comprendre qu'elle n'en avait rien à foutre d'eux et qu'elle ne voulait pas qu'on vienne l'emmerder avec des questions ou des contradictions. Ceux qui n'arrivaient pas à suivre n'avaient qu'à dégager.
Elle posa les pieds sur son bureau et ouvrit un bouquin : Le portrait de Dorian Gray. C'était moldu et très interressant. Peu à peu les élèves arrivèrent mais elle ne daigna pas lever les yeux. Ce ne fut que quand la sonnerie se fit entendre qu'elle se leva et ferma la porte.

"Je suis votre prof d'Histoire de la magie, Charlie Tale, je vous appelle par vos prénoms et je vous tutoye alors faites pareil. Et blabla bla... On s'en tape du reste ! Maintenant je vais voir si l'état des trucs qui vous servent de cerveaux n'a pas empiré ! Je veux que vous me citiez chaque article de mon règlement par écrit !"

Un règlement stupide destiné à leur pourrir la vie et à être tranquille. Elle se réinstalla comme à leur arrivée en attendant la fin du délai, qu'elle n'avait pas annoncé.

Hélèna était ravie de reprendre les cours d'Histoire de la magie. Rien de mieux qu'un cours interressant fait par une prof qui n'en avait rien à foutre et qui ne se souciait pas de savoir qui allait se planter. Elle arriva pile à la sonnerie, juste avant que Charlie ferme la porte. Elle s'installa au fond de la classe. Elle était habillé d'une jupe rouge et noir à carreau, de la forme de celle des uniforme, avec une chemise noire et une cravate rouge. Ses fidèles doc au pieds noires vernies complètait son look légèrement gothique. Elle écouta d'une oreille distraite la professeur et prit un parchemin pour faire l'exercice demandé. Elle connaissait ce règlement par coeur mais elle prit un malin plaisir à ne rien écrire à part son nom
Elle attendit que les autres ait finit de se creuser la tête alors qu'elle savait très bien que la professeur n'allait pas ramasser les copies puisqu'elle lisait un livre et ne vérifiait pas que ses élèves trichaient. Mais apparament elle était une des seule à avoir remarquer ça. Elle s'alluma une cigarette et observa la salle tellement impersonnelle où elle suivait les cours de Charlie depuis déjà quelques années. Elle s'y sentait à l'aise, elle savait qu'ici elle était tranquille, personne ne viendrait lui demander d'en faire plus, de parler ou d'autres occupations ennuyantes. Elle devait écouter, répondre aux devoirs, ne pas poser de questions et ça lui convenait. Elle fit un joli sourire de garce à la fille qui lui lança un regard mauvais à cause de sa cigarette. C'était une chose dont elle avait l'habitude.

Je m’étais levé, sauf que je dormais debout. À savoir pourquoi, je n’en avais aucune espèce d’idée. Avoir put, je serais resté dans le dortoir des garçons et seraient resté là... à dormir dans mon lit... parfait, comme mâtiné! Mais non... je devais me lever, m’habiller... aller en cours... et crever de fatigue ! Rah lala... vie pourrîtes... bon... je n’avais pas remarqué de quel pied je m’étais levé, mais je pourrais parier que c’était le gauche ! Trainant des pieds, je me changeai et ne pris même pas la peine de tenter d’arranger mes cheveux, ce qui faisaient étrange dans mon cas. Car habituellement, je prenais l’habitude de bien m’arranger pour que tous ai une bonne opinion de moi... mais depuis quelque jour, j’avais une envie soudaine de me laisser aller... encore là, à savoir pourquoi. Non pas que je voulusse faire mon intéressant, ou que quelque chose était arrivé... mais là...

Avec un soupire de découragement, je descendis en bas, allant manger rapidos presto, puis montai au cours. Les corridors grouillaient de vie et je ronchonnai. J’allai m’asseoir à ma place et écoutai la prof un moment, ayant plus que tout le goût de dormir en ce moment même. Finalement, Charlie dit qu’il fallait écrire le règlement et je commençai, nonchalamment à écrire... sans que je ne finisse ma première phrase, pourtant, je lâchai mon crayon et finit endormit sur le bureau. La prof allait sans doute me chialer après... mais bon... tant qu’à écrire un règlement stupide, autant dormir... ou partir, ce que j’aurais aussi put faire !

Charlie soupira, posa son livre, se servit une tasse de thé, prit une gorgée puis jeta un coup d'oeil distrait à ses élèves. La plupart était penché sur leurs copies, quelques uns gobaient les mouches et l'un dormait. Elle eut un sourire sadique et d'un mouvement de baguette, de l'eauglacée aspergea Etienne Forking, un serpentard. Elle fut ravie de voir sa tête. Le délai était terminé. Les imbéciles qui s'étaient tués à écrire l'avaient compris et cessés leur activité.

"Maintenant que vous êtes TOUS bien réveillés, Etienne, peux tu me citez la première et la deuxième règle ?"

Elle posa sur lui des yeux ennuyés. Elle se souvenait très bien avoir dormi lors de certains cours quand elle était elle même élève mais elle arrivait à ne pas se faire prendre. Il faut dire qu'elle était très douée lorsqu'il s'agissait de ne pas se faire prendre ou punir. Elle savait si bien se débrouiller. Combien de fois avait-elle charmé le préfet en chef de son époque pour éviter une punition en sixième année. D'ailleurs à la fin elle était sortie avec, jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'un autre. Là elle était devenue amie avec la préfete en chef. Elle arrivait même à amadouer les professeurs. Et si elle n'arrivait pas à échapper à la punition, il lui suffisait de trouver quelqu'un pour le faire à sa place. Elle écouta la réponse avec un sourire sadique.

Le bruit des plumes qui écrivaient ne parvint pas à me réveiller. Je dormais quand même assez profondément, mais je me rendis compte pourtant du soudain silence qui régnait dans la classe. Je n’eus pas le temps cependant de faire comme si j’étais réveillé que de l’eau glacé se déversait sur ma tête, finissant par me mouiller de la tête au pied. Je me rassis soudainement, les yeux ouverts, paniqué. Je regardai autour de moi un moment, me demandait qui avait fait ça. Finalement, je me retournai lentement vers l’avant, fixant avec rage Charlie. Pour l’instant, je n’avais que de la haine envers elle. Certes, elle pouvait parfois être le genre de prof je m’en foutisme que j’aimais bien... mais maintenant, j’étais tout mouillé, je m’étais levé en colère... et là, c’était la goutte qui me faisait déborder ! Sans commentaire sur le jeu de mot !

"Maintenant que vous êtes TOUS bien réveillés, Etienne, peux-tu me citer la première et la deuxième règle ?"

J’hochai un sourcil, ayant de plus en plus le goût d’étriper cette... je me contins de penser à cela. Je grognai un mot inintelligible et regardai ceux qui m’entouraient. Surtout Hélèna Perry. Elle se la coulait bien douce, elle... maudite Gryffondor. C’était sans doute un des pourquoi je les détestais tant. Ils se disaient majoritairement : Ah, je suis fort, courageux, intelligent ! Bande Vantard ! Je reportai mon attention sur l’enseignante et serrai les dents en voyant son sourire. Si elle me cherchait elle allait me trouver ! Je ne répondis rien, me contentant de la défier du regard. Si je ne faisais rien, qu’allait-elle faire ? Enlever des points à Serpentard ? Bah ! Ça ne faisait rien, ça ! Les profs étaient tellement... rabajoie! Ils s’en prenaient à ceux qu’il ne chouchoutait pas, et après ça, nous devions endurer ! Wow ! Qu’elle merveilleuse vie qu’était Poudlard ! Et si je partais brusquement ? Elle allait me retenir, peut-être ?

Décidant de suivre cette idée, je me levai doucement, qui si de rien n’était et je me secouai un peu, pour enlever le surplus d’eau qui me restait. Une flaque sur le sol indiquait l’endroit même où j’avais été. Je ramassai mes effets personnels pour ensuite sortir de derrière les bureaux et me diriger vers la sortie. Peu importe si se serait noter comme une escapade, je m’en contrefichais éperdument ! Elle n’allait quand même pas venir m’énerver avec ses maudits règlements à la con !

Charlie éclata de rire en voyant la tête de son élève. Elle le regarda récupérer ses affaires et se diriger vers la sortie. Il était stupide. Il se pénalisait lui même, elle elle avait déjà passé ses aspics et les avaient réussi avec brio. Elle appela un elfe d'un claquement de dogt pour qu'il éponge la flaque d'eau et vit Etienne lancer un regard dur à Hélèna. Voyons ce n'était pas de la faute à cette fille si elle était plus intellligente qu'un serpentard, même en étant une gryffondore. Charlie avait des chouchous et Etienne ainsi qu'Hélèna en faisait parti. Elle était loin d'être la prof modèle et c'est ceux qui en foutait le moins qui lui plaisaient le plus. Surtout qu'Hélèna était très intelligente.

"Règle n°11 : Si vous voulez dormir, faites le pendant les autres cours ! Tu te casses provisoirement ou définitivement ? "

Elle lui adressa un sourire charmeur.

*Et un de moins ! Dommage que ça soit lui et pas un gryffondor ou un poufsoufle*

Elle restait serpentarde dans l'âme et favorisait cette maison.

Hélèna regardait avec flegme la scène. C'était relativement interressant. La prof était vache mais tout le monde le savait et personne ne riait sauf les autres gryffondors, de peur de subir le même traitement. Beaucoup de personnes étaient terrifiées par Charlie, pourtant la seule vraie règle c'était "TAIS-TOI", rien de plus compliqué. Elle fut surprise par la réaction de son camarade et ne se gêna pas pour réagir.

"Que tu es susceptible ! On dirais un gryffondor ! Ca ne la dérange pas que tu te casses, elle a eu ses aspics elle, contrairement à toi qui vas les passer à la fin de l'année. Elle ça lui fait un abruti de moins à supporter !"

Le sourire était moqueur. Elle avait vu le regard noir qu'il lui avait adressé. Ce n'était pas de sa faute si elle savait rester éveillé. Elle nota la règle numéro 11. La professeur l'adorait mais il fallait respecter ce règlement alors autant noter les règles, histoire de s'en souvenir. Après tout se foutre de la figure de ses camarades était autorisé, d'ailleurs elle pouvait le faire en toute impunité car règle numéro 3 : Ce qui se passe en Histoire de la Magie reste en Histoire de la Magie.

[Je me suis trompée dans les comptes désolée]

Malgré le fait que tu te dépêche, tu arrives en retards a ton cour d'histoire de la magie. Tu va prendre une place qui n'est pas occupé dans le fond de la classe et sans t'excusé de tonretard, tu sors un parchemin, de l'encre et une plume. Pourtant, tu ne prit pas la peine d'écrire les règles. Tu ne vis qu'Étienne sortir de la classe.

Les règles, tu ne vois pas comment tu peux les connaître. Elle ne sont noté nul par et personne ne t'en a jamais parler. Tu te demande pourquoi Hélèna semble si bien les savoirs. Mais tu semble te rapellé que l'autre batteuse de ton équipe de quidittch a une rélation privilégier avec Charlie, même si leur lien est discret et pas clair du tout. Tu Vouidrais en savoir plus mais par politesse et par respect, tu garde le silence. De plus, le grattement des plumes sur les parchemins de réconforte, pas question de troublé ce silence bruyant.

J’arriva en retard, bien sur. J’arrivais toujours en retard, et cette fois si ne fit pas exception. Pourtant, j’osais espéré que mon retard ne serai pas trop remarquer par Charlie, la professeur d’Histoire de la magie. En entendant la cloche, je ne me dépêcha pas davantage à me rendre dans mon cour. Entre 2 et 5 minutes de retard, la différence n’est pas si grande.

Je croisa Étienne dans les corridors le saluant brièvement. Je ne savais pas pourquoi il partait en direction opposée de la classe tout en ayant les livres, mais je ne posa pas la question. Je rentra donc délicatement dans le cour et sans déranger, je me dirigea à une place libre. Tout le monde écrivait, sauf quelque un. Je ne sortis ni ma plume, ni mon encre, ni un parchemin. Je sortis par contre ma baguette et je la fit jouer entre mes doigts.

J’étais parti du cours et avait croisé Shanelle sur le chemin. Je l’avais salué, sans plus... je n’avais pas vraiment de motivation, aujourd’hui, et j’espérai qu’elle ne le prenne pas personnel. J’allais atteindre les cachots lorsqu’un surveillant, le concierge en fait, me prit à « flâné » comme il le disait si bien. Aussi, il me força à revenir à mon cours par la peau du cou et je protestai en vain. Quand je fus rendu, il ouvrit la porte brusquement et me jeta dans la pièce, sans délicatesse. J’avais donc une aussi mauvaise réputation que ça auprès d’eux ? Bah, tant pis. J’étais de mauvaise humeur, alors fallait pas me chauffer !

-Ouais, c’est ça, montre toi fort, saleté de Cracmol !

D’un coup sec, je me dégagé et je regardai dans la classe, renfrogné. Je ne jetai un coup d’œil à personne, rouge de colère... non pas de honte. J’avais déjà eu des choses plus honteuses que ça, dans ma vie, alors attirer l’attention ne me faisait rien. Je retournai m’asseoir au fond de la classe, là où j’avais été quelques minutes à peine et me rassit. Que Charlie me ressorte, si elle voulait ! Que dalle ! Je m’en moquais comme de l’an quarante !J’appuyai mes coudes sur la table et regardai en avant, les yeux chargés d’éclairs. Je ne comprenais pas vraiment d’où me venait cette rage, mais peu importe... je n’étais pas capable de me calmer... simplement dût au manque de sommeil des derniers jours ? Ça m’étonnerait franchement. J’avais vécu pire ! Je passai une main sur mon front, celui-ci était brûlant... puis je me frottai les yeux. J’étais encore un peu mouillé de la douche forcé que j’avais pris, mais grâce à la robe de sorcier ça paraissait passablement sec... sac compté mes cheveux qui était encore un peu plus désordonné...

Charlie leva les yeux aux ciel. Ils étaient stupides et chiants. Elle accueillit les retardataires avec un froncement de sourcil. Elles se prenaient pour qui ces gamines ? Elle s'asseya derrière son bureau, croisa les jambes et les bras. Elle était passablement irritée. Ne comprenaient-ils pas qu'elle elle en avait rien à foutre de leur avenir ? Elle aurait tout aussi bien pu partir en claquant la porte. Elle soupira, tapa d'un coup sec sur le tableau et les dix premières règles s'inscrivirent.

Citation :: Règle n°1 : Votre professeur d'Histoire de la magie a toujours raison.
Règle n°2 : Il est interdit de venir déranger votre professeur d'Histoire de la magie en dehors de vos cours d'Histoire de la magie.
Règle n°3 : Ce qui se passe en Histoire de la Magie reste en Histoire de la Magie.
Règle n°4 : Les retards nécessitent une excuse valable.
Règle n°5 : Il est interdit de bavarder dans la salle d'Histoire de la Magie.
Règle n°6 : Il est interdit de manger dans la salle d'Histoire de la Magie.
Règle n°7 : Il est interdit de boire dans la salle d'Histoire de la Magie.
Règle n°8 : La seule autorité valable dans la salle d'Histoire de la Magie est celle de votre professeur d'Histoire de la magie.
Règle n°9 : Votre professeur d'Histoire de la Magie se réserve le droit de favoriser certains élèves en toute impunité.
Règle n°10 : Ces règles ne concernent aucunement votre professeur d'Histoire de la Magie

"Je les répète tous les ans mais vous ne semblez pas les retenir. Je ne ferais aucune remarque à ceux qui ne les ont pas respectés aujourd'hui mais ne vous habituez pas à cette tranquilité et..."

Elle fut interrompue par la porte qui s'ouvrit et laissa passer un concierge furieux tenant par la peau du cou un Etienne tout aussi furieux. Elle soupira.

"Ca vous aurait tué de frapper avant d'entrer ?"

Elle observa Etienne qui se réinstallait au fond de la classe. Elle vira le concierge et remarqua que son élève ne paraissait pas bien.

"Qu'attendez vous pour recopier ces règles ?"

Elle s'approcha du serpentard et se pencha vers lui. Il n'avait vraiment pas l'air bien. Elle posa une main contre son front. Il était bouillant. Charlie fronça des sourcils et plissa son nez. Il était mal en point et ça l'inquietait légèrement même si elle ne l'avouerait jamais.

"Tu veux aller à l'infirmerie ?"

Je jetai un coup d’œil au tableau, ou s’affichait les règles. Ma vision se brouillait doucement, sans que je ne puisse rien y faire. Peut-être étais-ce simplement le sommeil... mais j’avais de la difficulté à y croire. Ça me paressait étrange. J’avais rarement été malade, ou simplement affaiblit... et maintenant que je le ressentais, je me sentais étrange et ne savais pas que faire. En plus d’être mouillé... Je frissonnai, grelotant et serrant mes bras contre moi pour me réchauffer tant bien que mal. Rien à faire... Je levai les yeux, alors là seulement, je vis Charlie s’approcher. Un simple battement de paupière et elle fut devant moi. Elle posa une main sur mon front. Une main qui me semblait étrangement froide. Contraste. J’étais du genre à être frais de nature, et là, je sentais la température de la prof. Je devais être plus brûlant que je ne le pensais. Alors, elle parla.

"Tu veux aller à l'infirmerie ?"

Y aller, ou pas ? Je pouvais effectivement manquer le cours... mais je ne pensais pas avoir la force de me relever, alors... que choisir ? Me lever pour y aller et tomber on ne sait où en chemin ? Avec un soupire, je passai une main sur mon visage, tentant de chasser la fatigue et mon air malade... ce qui ne fonctionna pas. Le pire, je n’étais même pas capable de me concentrer pour utiliser mon pouvoir de morphorme... et c’était insultant ! J’aurais au moins pus ne pas me faire passer pour un faible devant toute la classe... mais non. Et chose encore plus insultante... mes cheveux avaient pâlis, signe évident de faiblesse. Ça ne m’était arrivé que quelques fois dans ma jeunesse... et là... paff ! Ça me revenait !

-Je crois que je devrais y aller...

Je serrai les lèvres, serrant aussi mes bras contre moi, incapable de me lever pour autant. Malgré tout mes efforts, mon corps ne me répondait plus aisément. La fatigue me rattrapait d’ailleurs, et c’était de peine et de misère que je restais dans la réalité. Pourtant ça m’arrivait en ce moment exactement ? Avais-je attrapé un virus quelconque dont je n’aurais pas eut conscience avant aujourd’hui ? Et quoi exactement ?!

» Cours d'Histoire de la Magie - Inscription
» Faire remarquer à un professeur qu'il est frustré relève de l'insolence [Nick]
» Année des personnages IMPORTANT
» BONNE ANNÉE 2010!!!
» Harry potter, cinquième année