Une histoire folle, folle, folle.

Cette été, j'ai commencer à écrire une histoire. J'aimerais beaucoup avoir votre avis.

Le Commencement de la fin
26 Juin

Je suis enragé! Je n’en revient tout simplement pas! Aucun avertissement! Pouf! Comme sa! Et sans même me consulté! Je suis complètement répugner!
Oh! , Bonjours. Je m’appelle Marie-Lune et j’ai 14 ans. Je m’en vais en secondaire 3. J’habite à Salaberry-de-Valleyfield depuis que je suis née. Je viens de terminer mon secondaire 2. Je quitte l’école Edgard-Hébert, qui accueil les secondaires 1 et 2, pour allez a l’École Baie St-François, qui accueil les 3, 4 et 5e secondaire. Au plutôt, j’étais supposé. En effet, je rentrais de chez Ariane, ma meilleure amie de toujours, quand ma mère, Diane, m’annonça que nous mangions de la fondu pour souper. Je fronça les sourcils, étonné. Nous ne mangions de la fondue qu’à des occasions très spéciales. Je regarda le calendrier afficher dans l’entré en remarquant qu’il n’y avait rien de spécial. Ma mère ne se donnait jamais tout se mal si elle n’avait pas quelque chose à nous dire ou à me dire. Et ce soir, je sentais que s’étais moi qui étais concerné en voyant le regard trop sérieux de mon père. Et d’ailleurs, que faisais t’il la? Nous étions vendredi, il était environs 17 heure 30 et mon père étais déjà rentré!?!
Mon père travaille comme pharmacien chez un minuscule Jean Coutu et ces heures de travail se situe entre 11h et 19h du lundi au Vendredi et de 8h à midi le samedi. Il adore son travail et adore ces clients. Puisqu’il est le principal pharmacien de ce Jean Coutu, il a toujours les même heures et ne les change jamais, sauf sous un très bon prétexte. Ma mère était secrétaire a temps partiel chez Hydro-Québec. Elle travaille les lundis, mardis et mercredis de 9h à 15h.
Je pensa à tout cela alors que je me lavais les mains dans l’évier de la cuisine et en m’installent à table. Mes parents soupirèrent tous les deux et je releva la tête. Il voulait me parler, bien sur. Ce n’étaient pas surprenant du tout. Je m’en doutais depuis que je savais ce que nous mangions.
Ma mère à mon père : Tu lui dis?
Mon père : Si tu y tiens
Moi : Cachez le morceau S.V.P. J’attends.

Mon père se racla la gorge, puis parla.
- Le Jean Coutu dans lequel je travaillais à fait faillite il y a deux semaine. Je suis resté le temps de rassemblé mes choses. J’ai fait des demandes d’emplois dans toute les pharmacies de la ville et dans les alentours mais aucune n’avais besoin de pharmacien.
- Tu sais que moi et ton père venons de Montréal, n’est-ce pas?

J’avala de travers en hochant la tête, devinant la suite.
- Et bien nous avons décidé, après de longue discutions, de retournée nous établir. On t’a déjà inscrit a une nouvelle école et la maison est acheté. Moi et ta mère somme allez la visité alors que tu couchais chez ton amie.

Alors la, s’étais le comble! Déménagé? Incroyablement injuste mais tout de même acceptable. Mais que mes parents ai omit de m’avertirent et qu’il est déjà tout fait sans me consulté étais répugnant. Je me leva d’un bon.
- VOUS CROYEZ VRAIMENT QUE VOUS AVEZ LE DROIT DE FAIRE SA SANS ME CONSULTÉ?! SAIS INJUSTE!

Alors voilà ma magnifique journée. Je me suis installé pour écrire dans mon nouveau journal qui étaient posé sur mon oreiller. Il était tout mignon avec sont petit zèbre! Je l’ai tout de suite ouvert en écrivant rapidement MON adresse avec MON numéro de téléphone et MES coordonné pour me redonné mon journal si je le perdais. Le commencement de la fin. Ces ce qui était écrit sur le dessus de mon journal. Le commencement d’une vie pourrit et la fin d’une merveilleuse vie. Me retenant pour ne pas fondre en larme, je me promit d’allez sur msn dès le lendemain pour avertire tout mes amies. Pour l’instant, je vais aller me reposer dans un bon bain avec mon twilight trèèèèèèèèèèèès longtemps!

27 Juin

Je me suis calmé depuis hier. Mais malgré tout, je suis encore fâché.
Ce matin, en me réveillant, vers 9h 10, je me suis lever, calmé après cette soirée éprouvante. J’ai mit un pantalon court en jean avec un chandail en manche courte vert foret écrit « Saving the rainforest » dessus. Je suis alors monté à la cuisine en me prenne une gaufre eggo. En y pensant bien, je n’avais jamais goûté à des gaufres maisons! Je mit du sirop, puis j’alla m’asseoir dans le salon pour manger ma gaufre en écoutant Salut! Bonjour! J’alla ensuite rincer mon assiette et la mettre dans le lave vaisselle quand ma mère arriva dans la cuisine.
- Mon trésor, je peux te parler?

Je hocha de la tête et je m’assis à table. Quand elle disait cela comme ça, ces a une discussion sérieuse a table qu’elle faisait référence.
- Tu sais, ces arriver subitement, on a réagit comme on pouvait…
- Vous auriez pus m’avertire.
- Sa a été beaucoup trop rapide…
- 2 semaine complète maman! 2 semaine! Ces en masse de temps! Laval, ces a une heure de tout mes amies!
- Tu vas t’en faire d’autre!
- J’ai de la difficulté avec sa! Et tu le sais! Je ne veux pas passer l’été seul! Et d’ailleurs, quand déménageons-nous?
- Le 1er juillet.
- Oh, la journée du déménagement, bien sur.

Mon père rentra en baillant dans la cuisine et se prit un café. Il en offrit un a ma mère, mais celle-ci déclina sont offre en le remerciant. Je tapa du pied pour lui dire que je voulais poursuivre notre discutions.
- Joins-toi à nous Marc.
- Bien oui papa! Vien parlé de ce sujet si joyeux avec nous!

Mon père soupira en s’asseyant. Il n’était jamais la pour moi, celui la ! Il n’était pas ce qu’il est aux yeux de mes amies « Ton père est super ! Il est drôle et sait dire les bons mots ! Il est si compréhensif ! Je le voudrais comme père ! » Bien sur ! Ces normal qu’il s’occupe t’en de mes amies, il les connais plus que moi ! Couleur préférée ? Il ne le sait pas ? Ma date de naissance ? Il s’en souvient 1 fois sur 2. Je ne lui en est jamais parlé. Ni a ma mère. Je ne dis jamais rien à mes parents, sauf ce que tout le monde peut savoir. Ce qui ses passer dans la journée, par exemple.
- Luna…
- Quoi ?
- Arrête ton cirque !
- Mais quel cirque ?
- Tu sais que nous avions pas le choix !
- Tu ne me connais même pas. Je ne sais même pas pourquoi je t’appelle encore papa !
- Monte dans ta chambre !
- Non, Marc, elle ira dans sa chambre quand elle aura fini de parlé ! Continue, Marie-Lune

Sur ce coup, j’avais le goût de sauté au coup de ma mère. Je devais parler à mon père. Et elle le savait.
- Papa, tu as de la difficulté à te rappeler de ma date de naissance mais celle d’Ariane, tu t’en rappelle toujours ! Tu sais même parfaitement comme elle aime son chocolat chaud alors que tu ne te rappelle jamais que je n’aime pas sa ! Tu sais tout d’elle et rien de moi. Suis-je si importante a tes yeux ?
- Je ne m’avais jamais rendu compte de tout cela…
- Vraiment ! Quel est ma couleur préférée, papa ? Quel est la couleur Préférée d’Ariane ?
- Ariane, ces le violet. Toi… heu… ces… le… heu…
- Tu vois ! Tu ne le sais même pas ! Au nombre de fois que je te l’ai dit ! Vert foret ! V.E.R.T. F.O.R.E.T !
- Mon croissant de lune…
- Arrête tes petits mots. Je n’en veux pas.
- Marie-Lune, je te jure de faire plus attention. Je t’aime. Et je ne veux surtout pas te perdre.


Je le regarda. Il était sincère. Un petit sourire s’étala sur mes lèvres. Il se leva et me serra dans ces bras. Je le serra a mon tour dans mes bras avant de me précipité sur msn pour en parlé a tout le monde. Tout le monde… tout le monde changeais autour de moi. Sauf moi. Sarah s’était fait une nouvelle amie au début de l’année. Ève Faucher. Je ne l’Aima pas dès le premier regard. Et justement, elle changea complètement celle que je considérais avant comme une meilleure amie. Sarah ne me parlait presque jamais quand Ève étais dans le coin. Mais dès qu’elle partait, elle se mettait à me parlé. Toujours de la même chose. « Oh, Ève est merveilleuse ! Elle est la best la plus extraordinaire que j’ai jamais eu ! J’ai hâte de lui parlé sur msn a soir ! » Tellement merveilleuse. Je ne lui avais pas dit, a Sarah. Je m’étais éloigné d’elle. Je dînais de moins en moins souvent avec elle, dînais seule, allant à la bibliothèque pour faire mes devoirs après. Je pouvais toujours dîner avec Ariane, mais elle dînait chez elle.
Personne de connecté encore. Je fureta un peux partout sur le net en écoutant a moitié la télé.
Mes parents rentrèrent ensemble dans le salon, un grand sourire aux lèvres. Ils me dirent qu’avec le nouveau travail de mon père et de ma mère, mon allocation monterais à 10 dollars par semaine. Je n’en croyais pas mes yeux ! J’étais à 5$ encore aujourd’hui ! En plus, je n’aurais plus à prendre l’autobus, la nouvelle étant à 5 maisons de l’École. En plus, le programme enrichit m’acceptais en Maths ! Trop contente ! J’avais toujours aimé les maths. Mais rentré en enrichit maths, j’avais toujours voulu ! En plus, on me proposait un chois d’horaire tout à fait adapter à mes demandes. Ou plutôt celle de mes parents, mais mes parents avais tenu compte de mes désirs en parlant à la direction de l’école. Je souriais Maintenant. Ils me montrèrent toute sorte de photo de notre nouvelle maison. Un très beau gazon vert avec une grande cour arrière pleine de beau arbre, une belle grande piscine et une maison de brique avec un sous-sol, un 1er et un 2e étage. 3 salles de bain, 4 chambres, une très grande cuisine avec la salle à manger et un salon magnifique. Mes parents avaient emprunté à la banque et avaient acheté deux terrains pour faire construire cette maison. Elle était tout simplement magnifique. Et le garage était très spacieux aussi ! Je mit les photos sur mon facebook en indiquant tout, disant tous les détails. J’ai passé le reste de ma journée à faire sa.

28 Juin

J’ai parlé à Ariane aujourd’hui. Je suis allez chez elle. On ces remémoré toute sorte de souvenir. S’étais amusant.

29 Juin

J’ai commencé mes boites. J’en est découvert des affaires ! Je les est faites avec Sarah. Elle était très gentille aujourd’hui. Je vais m’ennuyer de mes amies ! Aujourd’hui, une boule se formait dans ma gorge. J’anticipais déjà le déménagement.
Mes parents commencent à appeler mes oncles et mes tantes pour qu’il les aide à tout transporter. Mon parrain est déménageur et nous prête son camion gratuitement. Il est très gentil. Je l’aime beaucoup.

30 Juin

Demain ces le grand jour. Je ne peux pas y échapper. Ma chambre est pleine de boite et elle fait toute vide. La boule que j’ai dans la gorge m’empêche de parlé et de manger. J’ai tout pleurer ce que j’avais à pleurer. Je ne sais plus quoi faire pour ôté cette boule qu’il m’empêche même de dormir. Je garda les yeux ouverts toute la nuit à regarder mon plafond.

1^er Juillet

En fait, j’ai dormis quelque heure. Mais quand ma mère est venue me réveiller vers 8h pour me dire que je devais me lever, j’enfouis ma tête dans mon oreiller. Je finis tout de même par me lever, voulant apporter mon livre pour le voyage. Ce n’était que 1h, mais avec les bouchons de circulation ça pouvais en prendre 2 ! Je m’habilla donc rapidement avant de passer à la salle de bain. J’ouvrit la seule boite qui n’était pas encore fermé et je prit mon livre, un crayon et mon journal intime. J’alla les mettre dans notre nouvelle Hyundai Accent 2009 que mon père avait acheté. On y mit toute les boites que nous étions capables de mettre dans l’auto. Quand nous avons fini, mon oncle et toute ma famille arriva pour nous aider. Nous avons mit plein de gros meuble dans le camion que mon oncle Jack avait apporté. Mon cousin de 15 ans jouait avec sa PSP dans le camion alors que ces deux parents étaient sortis. Il était exactement ce que sont père, Jack, étais quand il était plus jeune. Ces à dire une beauté fatale. Les cheveux blonds en bataille avec des yeux bleu profond et captivant et des traits la plupart du temps sérieux qui le rendais encore plus beau. Mais le comble, ces quand il rit. LA, tu vois ce qu’est une vraie beauté fatale! Juste assez musclé, il était assez grand et aucun bouton ne recouvrait son visage. Il habitait à Laval, justement. Je cogna dans la vitre et avec un soupire, il descendit la fenêtre.
- Salut William. Alors, tu vas à quelle école?
- Lucien-Pagé, tu le sais bien.
- La même que moi. Tu vas en secondaire 4 ces ça ?
- Oui… arrête de me parler de l’École, je suis en vacance la !
- Et tu n'en profites même pas !
- Ben oui !
- Profité de l’été ces être dehors !
- Va dont t’amusé avec Emma.
- Emma à seulement 10 ans ! Et moi 14 !
*Soupire *
- Laisse-moi tranquille alors
- Allez sort !
- Va don jouer avec tes petites amies la.
- Ne m’oblige pas à t’obliger !
- Ok, ok !

Je réussis enfin à le faire sortir. Et étonnamment, il laissa même sa PSP dans le camion ! Jack vint me voir avec un sourire étonné.

- Miracle ! Wil est sortie du camion !

Je souris. Oui, je pouvais faire des miracles. En m’avançant sur le trottoir, j’aperçois pleine d’autre déménageur. On va sûrement aller au parc Salaberry tantôt. Ils font des hots dos à 5¢. Sa serais utile puisqu’il n’avait plus rien dans ma maison. Je sursauta quand une main se posa sur mon épaule. William. Il avait déménagé au début de sont secondaire et avait trouvé ça difficile. Lui aussi étais nés a Valleyfield. Il s’avait sûrement ce que je ressentais.

- Maman, je vais au par et je rapporte des hots dog à tout le monde ! Je prends la commande !
- Ok !
- Je t’accompagne, dit William.
- Ok.

Je prit un calepin qui traînait dans l’auto avec mon crayon que je m’étais amener tout à l’heure. Je fit le tour. France prenait 2 hots dog relish, moutarde, ketchup, Stéphane 3 hot dog pareil, Emma 1 hot dog seulement ketchup, Jack 5 hot dog au chou, Sonia 2 hot dog au chou aussi. Wil prendrait ce qu’il voudrait. Mes parents ont prit 2 hots dog au chou chacun. Je me mit à marché dans la rue, un sac dans la main droite, mon calepin dans l’autre. Nous arrivâmes enfin au parc et mon sang ne fit qu’un tour. J’avais complètement oublier que Étienne, ne gars que j’aimais depuis ma 4e année, déménageais lui aussi. Mais lui, s’étais à l’autre bout de la ville, pas a une heure de la ville ! J’Écrivit rapidement ma commande et je mit papier et argent dans la main de William.

- Va chercher les hots dog.
- Mais…
- Va-y !
- Ok, ok !

Étienne arriva devant moi.

- Ton chum ?
- Mon cousin.
- Oh… Il déménage ?
- Je déménage.
- Ou ?
- À Laval.- Je ne te verrais plus a l’école ?
- On ne dirait pas.
- Dommage…

Dommage ? WOW! Il avait dit que s’étais dommage! Je vous explique.
Étienne Lacoste est LE gars le plus populaire de notre année. Sportif, il a toujours été grand et il a les cheveux noirs qui le rend irrésistible. Mais il n’est pas un coureur et quand il sort avec une fille, sa dure longtemps. Lui et son ex on rompu il y a quelque semaine. Sa l’aurais fait 2 ans le 23 juin. Une chance pour moi, je ne perdais pas la parole quand il était-la. Je ne faisais qu’être plus raide.

- Vien ici S.V.P.
- Ok…

Il m’entraîna dans un coin du parc, en dessus d’un arbre, et s’accota contre le tronc. Je le regarda faire. Que voulais t’il me dire ? J’étais la petite bollé. Habillé normal, juste a la mode, j’étais la fille la plus ordinaire de l’école. Personne ne me connaissait ou presque. Et le seul sport que j’Étais capable de jouer, s’Étais le soccer, et encore la. Je me raidis quand il mit sa main sur mon épaule et s’approcha de mon oreille.

- Je vais m’ennuyer de toi. Depuis le temps que l’on se connaît… Et la tu pars, comme sa…
- Je…
- Ne dit rien… Sa dois être difficile de quitté ta ville, ta maison. Je ressens un déchirement et c'est juste un changement de maison. Je n’imagine pas un changement de vie.

A non ! Surtout pas ! Pourtant, je commença à pleuré. Des larmes coulaient sur mes joues. J’étais heureuse, et la Étienne venais mettre la confusions en moi. En voyant mes larmes, il me prit dans ces bras et je me laissa allez, contre toute attente. J’avais 14 ans. Je n’avais jamais eu de chum, je n’avais jamais embrassé. Étienne avait 14 ans. Il avait eu un nombre incalculable de blonde et il avait embrassé des millions de fois. Pourtant, c'est bien lui qui me tenait dans ces bras.

- Sa ne te dérange as trop ? Je veux dire… Que je te tienne comme sa ?
- Non…
- Ok… Je…

A quoi m’attendais-je ? Je ne sais pas. Mais certainement pas a sa. Il se décolla de moi et je fit quelque chose que j’évite habituellement. Je le regarda dans ces bras. Je ne perçus pas sont petit déplacement. Mais tout a coup, ces lèvres se posèrent sur les miennes. J’arrêta de pensé et je lui rendit sont baiser avec un peu trop d’ardeur. J’étais complètement renversé. Il se décolla alors, un petit sourire amusé sur les lèvres. Je le regarda dans les yeux, vacillante.

- Pourquoi ..?
- Je ne sais pas… Comment as-tu trouvé ça ?


Alors la, il ne s’en allait même pas. J’avais l’impression d’être dans un livre. Mais dans un livre, je me serais enfuit en courant, je ne serais pas rester-la ! et Étienne se serait excusé, me disant qu’il n’aurait pas du faire sa…

- Super…
- Tu veux que je recommence ?
- Oui…

Oh mais qu’elle audace ma chère ! Ces ce que je me dis alors qu’il revenait vers moi. Il colla son front au mien et je ferma les yeux. Nous nous embrassâmes longtemps, ces bras autour de ma taille, les miens autour de sont coup. Jusqu’à ce que William apparaisse, rompant le moment, inconscient.

- Hé Marie ! Qu’est-ce que…

Je me décolla en vitesse, m’essuyant la bouche d’un revers de main. Je tourna vers Étienne un regard désolé et j’amena William plus loin ou il n‘y avait personne pour nous entendre.

- ESPÈCE D’IDIOT !
- Désolé…
- NON MAIS LA ! T’AS BIEN VUE CE QUE JE FAISAIS !
- Tu embrassais un gars, Marie.
- Je…
- Non mais !
- Ces que…
- 14 ans !
- Ben ces…
- J’aurais honte !
- MAIS TU VAS TE LA FERMER OUI !
- Non Marie. Parce que je te trouve trop chanceuse.
- Quoi ? ?
- Tu as bien comprit. Je n’ai jamais eu l’audace d’embrasser ou même de dire oui a une fille qui me demandait pour sortir avec. Et toi, tu embrasse tellement naturellement, avec ton chum…
- Ce n’est vraiment pas mon chum. Et ces lui qui m'a embrassé, après je me suis laisser faire. Ça ce fait tout seul. Et ce gars, ne dit rien à sont sujet. Je tripe dessus depuis des années !
- Va le rejoindre ! Je dis au autre que tu as rencontré une amie.
- Tu es sérieux ?
- Ouais !
- Merci !
Je lui sauta au coup et j’alla retrouver Étienne. Mais qu’est-ce que j’allais lui dire ? En arrivant devant lui, ces lui qui prit la parole. Ou plutôt qui prit l’avantage. Il me fit signe de m’asseoir par terre avec lui, ce que je fit. Il me prit doucement la main et mon cœur commença à battre à grand coup.

- Pourquoi m’as-tu laissé faire, Maire-Lune ?
- Je ne sais pas…
- Tu le sais.
- Oui…
- Alors pourquoi ?
- Je ne sais pas…
- Tu ne veux pas me le dire ?
- Non…
- Alors moi je vais te le dire.
- De quoi ?
- Pourquoi je t’ai embrassé.
- ?
- Je crois que je t’aime.

Je me figea. Étienne, m‘aimé ? Impossible. Pourtant, ces lui que s’approchais dangereusement de moi alors que je me demandais comment réagir quand il m’embrasserait. Je devais le repousser et partir.
J’en fut incapable. Quand il m’embrassa, un courant électrique me traversa et je ne pus que lui rendre sont baiser.

- Je… Je dois partir…
- Non attend !
- Non ! Au revoir, Étienne. Heureuse de t’avoir connue !
- Marie-Lune…
- Bye !

Je courus jusqu'à arrivé a coté de William. J’avais les larmes aux yeux. Pourquoi ? Pourquoi me faire souffrir ? Il savait pourtant que cet amour était impossible, que je partais, que s’étais inévitable. Je ne voulais plus jamais entendre parlé des gars. En arrivant, ma mère me dit que l’on mangerait dans l’auto, sinon on ne pourrait pas être installé pour la nuit. Je grimpa dans l’auto et nous partîmes. Je laissais tout derrière moi pour repartir sur une nouvelle base. Le commencement de la fin.

Nous arrivâmes dans notre nouvelle maison. Plein de déménageur se trouvait dans notre rue. Notre nouvelle rue. Dès que mes meuble furent rentré dans ma chambre peinturé avec plein d différente teinte de vert. Je plaça mes meubles de bois qui allait très bien avec la couleur de la chambre et je plaça une tablette de bois devant la fenêtre. Je prit mes plantes et je les plaça sur le bord. Ma chambre était tout simplement magnifique. Je prit le reste de la journée pour placer mes choses et me coucher en pensant à Étienne.

J'ai lu le premier post uniquement. Cependant j'ai remarqué que tu confondais "sais", "ces", "ses" et "c'est" ! Tu devrais faire attention à ça ! Sinon c'est bien écrit.

pour les "sais", "ces", "ses" et "c'est", j'ai effectivement beaucoup de faute. Sinon merci beaucoup!

Moi aussi je fait beaucoup de faute dans mes textes. Mais n'empêche, j'adore ton histoire. Autant comment ces écrit que l'histoire en général. Bravo!

C'est super bien comme Histoire :O ^^

Je vais faire une remarque que m'as prof de français m'as faite sur mon histoire a moi : Attention tu passe tu présent au passé ^^ XD

Bon... pour ma part, je n'ai lus que le début, mais je risque de lire la suite plus tard, quand je ne serai pas fatigué. Si je peux donner un conseil :

Citation :

Oh! , Bonjours. Je m’appelle Marie-Lune et j’ai 14 ans. Je m’en vais en secondaire 3. J’habite à Salaberry-de-Valleyfield depuis que je suis née. Je viens de terminer mon secondaire 2. Je quitte l’école Edgard-Hébert, qui accueil les secondaires 1 et 2, pour allez a l’École Baie St-François, qui accueil les 3, 4 et 5e secondaire.

Ce genre d'énumération sont à évité. Je fais partie d'un concours littéraire et mon prof de français, qui est aussi notre animateur, nous a appit que tout mettre en mote comme ça... Bah... Allons y de mon avis.

Non pas que se fut mauvais! Toutefois, comme dit plus haut... ce genre de chose, tout mettre en mottont, c'est à éviter. Habituellement, ont tente d'emmener le sujet plus discretement, et on l'éparpille un peu dans les paragraphes qui suivent. Comme... la présentation de ton personnage n'est pas nécessaire. Dire qu'elle s'appel Marie-Lune, qu'elle a 14 ans et tout le tralala n'est pas nécessaire. Si tu le ramènes, l'Explique, plus tard dans ton histoire, c'est déjà mieux. Sinon, ça fait tout condensé et c'est plus ou moins sympatique à lire... on dirait que le personnage se décri trop lui belle et qu'un jour, il pourrait sortir : Je suis belle et je suis la meilleure...

Je sais qu'elle pourrait le dire... mais pour donner un exemple, faudrait plus que ça ressemble à : Mes cheveux châtains tombaient sur mes épaules en de souple boucle et mes yeux noisette faisait contraste au milieu de ma peau blême...

(J'ai sorti n'importe quoi, là, juste pour faire une exemple)

Bref... je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire... J'espère au moins que je t'aurai aidé.!